Vertus du "copié-collé" sur Internet


Sur Internet, difficile d'échapper au "copié-collé". C'est la base des échanges, dit-on (et aussi la plaie de la transmission des connaissances, les professeurs en savent quelque chose, mais ceci est une autre histoire).
Ce site n'y échappe pas, j'en suis consciente, mais j'essaie dans la mesure du possible de ne pas recopier intégralement des articles parus en français sur d'autres sites - à l'exception des dépêches d'agence, car malheureusement, je n'ai pratiquement jamais d'accès vraiment direct à l'information, sinon par le biais de sites étrangers.
A quoi bon, en effet. Les hyperliens sont là pour cela. Et puis cette forme de transmission de l'information mène souvent, paradoxalement, à la désinformation (voir ici: Enigme mathématique - et paradoxe! )

Tout ce long préambule pour dire que j'aimerais faire une exception, sans complexe, pour un article publié aujourd'hui sur le site Pro Liturgia. C'est une synthèse assez géniale de la situation en France, créée par la publication du Motu Proprio, sous la forme d'une hilarante Lettre d'un curé d'au-delà des monts (ndr: cad français) , à un sien cousin, Camérier secret de Sa Sainteté en ses sacrés Palais Apostoliques.

Elle est à lire aujourd'hui sur son site d'origine (http://perso.orange.fr/proliturgia/Informations.htm), mais comme je sais que ce site vraiment original ne conserve pas ses archives, je me permets d'en archiver une copie, sous la forme d'un fichier PDF à télécharger: association proliturgia informations.pdf [36 KB]




Extrait...

" Nul ne niera qu'à l'aube du XXIe siècle, et après avoir quitté sans regret le sinistre XXe, l'Esprit Saint nous a donné l'ultime et plus excellent fruit du catholicisme traditionnel. Fine fleur de la chrétienté bavaroise, éminent représentant de ce que la culture et la science religieuse allemande ont apporté de meilleur à la civilisation européenne, Joseph Ratzinger était déjà un grand homme. Rendons grâce à son vénéré prédécesseur de l'avoir choisi. Seuls les citadins imbéciles ignorent qu'un berger n'est rien sans un bon chien qui limite avec tact et fermeté les folies du troupeau. Le spectacle des brebis alpestres vient de me le confirmer. D'autres que moi ont dit la qualité de l'homme, sa finesse, la délicatesse de son âme et de ses sentiments. Nous nous émerveillons chaque jour de sa science en (re)lisant ses écrits ou en recueillant son enseignement.
Non, le meilleur n'est pas là. La publication de la « Lettre apostolique en forme de motu proprio Summorum pontificum » est venue apporter une touche de génie à tout cela."
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La suite sur le site Proliturgia