L'opinion que celui qui était encore le cardinal Ratzinger sur le best-seller planétaire a déjà fait couler beaucoup d'encre.

A l'occasion de la sortie du dernier tome de la série, Jeanne Smits, directrice de Présent, lui a consacré sa rubrique hebdomadaire "Génération décervelée" du jeudi 8 novembre.
Ce qu'elle dit ne laisse aucune place au doute: le futur pape avait, en 2003, formulé les plus expresses réserves sur la saga du petit sorcier, dénonçant « les séductions subtiles qui agissent sans être remarquées, et donc, d'autant plus en profondeur, et qui distordent le christianisme dans l'âme avant même qu'il puisse grandir de façon droite ».

Article en entier ici: Harry Potter, la controverse interdite

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Je précise que j'avais acheté le premier tome par curiosité, et que je n'ai pas réussi à poursuivre la lecture au délà des 50 premières pages. Cela ne signifie pas que c'était mauvais, simplement, je n'ai pas été happée comme beaucoup prétendent l'être.