Confession d'un cardinal (VII)

Pour finir sur une note optimiste

Mauvaise nouvelle pour les adversaires du Pape, pourtant. Et bonne nouvelle pour tous ceux qui espèrent que l'Eglise survivra.
Benoît XVI tient bon.
Il tient bon au point d'indisposer ses opposants. Sinon, pourquoi Florès d'Acais, qu'on peut vraiment qualifier d'ennemi institutionnel, se donnerait-il la peine de titrer ainsi une tribune reproduite dans le Monde en juin dernier, et sans doute dans la presse de gauche européenne:
L'Eglise se durcit pour reconquérir l'Europe

Et à des observateurs avertis comme John Allen et Robert Moinyhan, appartenant à des écoles de pensée complémentaires, sinon opposées, il n'a pas échappé, preuve à l'appui, qu'une des tendances majeures dans le catholicisme d'aujourd'hui, est "l'affirmation répétée d'un sens fort de l'identité catholique traditionnelle".


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