Des nouvelles du Saint-Père
Il va bien, Dieu merci. Et il nous le fait savoir, par l'Angelus du 1er février. (1/2/2009)
J'ai cru percevoir, dans sa magnifique méditation d'avant l'Angelus, une allusion à l'épreuve qu'il traverse:
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[Jésus] devra être sacrifié sur la croix comme vrai Agneau pascal.
Le diable, de son côté, cherche à le détourner, pour le dérouter au contraire vers la logique humaine d'un Messie puissant et plein de succès.
La croix du Christ sera la ruine du démon, et c'est pour cela que Jésus ne cesse d'enseigner à ses disciples que pour entrer dans sa gloire, ils doivent souffrir beaucoup, être refusés, condamnés et crucifiés, la souffrance étant partie intégrante de sa mission.
Jésus souffre et meurt sur la croix par amour. De cette façon, si l'on y regarde bien, il a donné un sens à notre souffrance, un sens que beaucoup d'hommes et de femmes de chaque époque ont compris, et fait leur, expérimentant une profonde sérénité même dans l'amertume de dures épreuves physiques et morales.
Texte complet ici (ma traduction): La Croix du Christ est la ruine du démon
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