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A propos du phénomène Michael Jackson

... "formidable navire amiral de l’idéologie dominante": Réflexion de Carlota, hispanophone, et imprégnée de culture hispanique, autour d'un article d'un blogueur espagnol, et d'une lettre de Mgr Aguirre, évêque de Palencia en Castille (19/7/2009)

Carlota m'écrit

Au moment où le Saint Père et l’Église Catholique, experts en Humanité, présentent l’encyclique « Caritas in veritate » qui traite notamment, dans un monde essentiellement marchand, du respect de l’Homme, créature de Dieu, il est assez symptomatique de voir comment la mort du chanteur Michael Jackson a été présentée.
Il est révélateur de découvrir que le mondialisme, cette idéologie d’origine « made in USA » qui a pour but d’apporter le profit absolu au plus petit nombre en broyant, d’une façon anesthésiante sinon analgisante, le plus grand nombre dans un brouet économico-culturo-ethnique, a fabriqué un symbole et comment il a été utilisé.

Et comme décidément j’aime bien la façon de voir de mon « blogueur » espagnol Eduardo Arroyo sur le site http://www.elsemanaldigital.com , je vous adresse la traduction de l’un de ses derniers articles. Même si le texte peut paraître à certains exagéré, il n’en est pas moins, me semble-t-il un bon élément de réflexion…
Si pour Marx la religion était l’opium du peuple, pour l’idéologie du mondialisme, la déculturation et la déchristianisation institutionnalisées en Europe depuis une quarantaine d’années sont vraiment pain béni!

Mes remarques, bien sûr, ne visent pas Michael Jackson en particulier (qui m’indifférerait plutôt, même si je n’appréciais ni sa musique ni ses chansons, ni sa personnalité), mais ceux qui ont fabriqué l’Homo economicus pour arriver à leurs fins mercantiles… Une fin qui provoquera à leur tour leur perte, face aux adeptes d’une religion bien peu perméable aux élucubrations scéniques d’un Michael Jackson... et peu gênés pas les propos haineux d’une rare violence éructés contre la religion chrétienne ou tout simplement contre les créatures divines que sont l’homme et la femme, par des chanteuses et chanteurs en solo et en groupes, sur internet, en concert ou lors de festivals (*) et dont les media de l’Hexagone ou d’ailleurs apportent une large publicité.

Enfin, je partage l’avis d’Eduardo Arroyo sur le groupe irlandais de rock U2 et son soliste Bono, même si je peux comprendre que Mgr Munilla, évêque de Palencia (Espagne) ait une attitude chrétienne confiante et miséricordieuse à leur égard, en particulier dans sa lettre intitulée « Des rois et des mendiants » écrite le 4 juillet 2009 à l’occasion de la mort de Michael Jackson ( http://www.diocesispalencia.org/cartas.htm )

Dans la mort de Michael Jackson:

... une vision politiquement incorrecte
par Eduardo Arroyo
(Traduction Carlota)
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La disparition de Jackson a déchaîné l’hystérie collective excitée par les media. Mais, le chanteur était-il vraiment un exemple à suivre ou un modèle de l’idéologie dominante ?

Michael Jackson: un exemple de "homo economicus" de l’actuelle idéologie dominante
Je n’ai lu que trois articles contraires à l’hystérie générale produite par la mort de Michael Jackson (NDT : Mort dans sa cinquante et unième année le 25 juin 2009): un de Antonio Burgos (NDT : journaliste et écrivain espagnol d’origine andalouse – né en 1943. A vécu un an en Suisse à la suite de menaces de mort reçus de l’ETA et est considéré comme “homophobe” par divers collectifs LGBT) disant qu’il ne l’aimait pas et qu’il lui paraissait absurde – au moins Burgos est honnête-; un autre de Fernando Sánchez Dragó (NDT : essayiste, romancier et critique littéraire espagnol notamment à la télévision – Né en 1936, - membre dans sa jeunesse du PC espagnol, prison et exil sous Franco) du même genre que le précédent, - et par conséquent un peu décevant à mon avis, - et le dernier de Mgr Ignacio Munilla Aguirre, évêque de Palencia (NDT : né en 1961 au Pays Basque espagnol, évêque de Palencia – en Castille - Léon, c’est à Palencia que Rodrigue épousa Chimène en 1074), qui est de beaucoup de la plus haute teneur intellectuelle. Car, quoique l’on puisse en dire, l’Église continue à porter son éclairage à tant de choses. Dans l’article mentionné Mgr Munilla souligne essentiellement le fait que derrière l’apparent succès de l’étoile fulgurante de la musique « pop » occidentale, se cache la souffrance d’une personne totalement détachée d’une vision spirituelle du monde.

Lamentablement, même si Michael Jackson, épouvantail ridicule d’un homme qui eut tout sur terre et qui cependant fut incapable de diriger sa propre vie, nous porte à la compassion, il fut aussi un formidable navire amiral de l’idéologie dominante, un archétype de l’homme nouveau qui polarise la tension de notre époque. Plus encore : on peut dire que grâce à Jacko le monde démo-libéral dans lequel nous vivons a aussi des modèles sociaux de grande similitude avec cette utopie de « l’homme nouveau » version soviétique.

Jackson, reconnu par tous comme un nouveau roi Midas (NDT : roi de la mythologie grecque qui avait en autre la faculté de tout transformer en or) des temps modernes, évolua par le travail mais aussi grâce à la technique, depuis une première image d’un adolescent noir américain vers un être androgyne ni blanc ni noir. En soi, Michael Jackson a parfaitement illustré toute l’idolâtrie de l’homme version Dr Faust (NDT : le vieux Dr Faust d’après les contes populaires allemands a vendu son âme au diable pour retrouver sa jeunesse) qui aspire à changer de sexe et de race comme bon lui semble ou à se transformer en « père » à coup de chèque et de sentence judiciaire. Dans Jackson il n’y avait pas de place pour les processus naturels qui régissent un individu tout au long de sa vie : face aux maladies, des bulles stériles de la plus haute technicité ; face à la paternité naturelle et la famille l’adoption capricieuse ; face à l’apparence que confère un groupe ethnique particulier, une chirurgie des plus pointues capable de changer un Bushman en Suédois. Par analogie en ce qui concerne le culturel, une musique chantée dans un anglais élémentaire - une langue partagée par tous d’à peine 1500 mots-, dansé dans un style improvisé sous le camouflage de l’excentricité d’un individu, tout cela pour une consommation de masse dans tous les pays et toutes les conditions.

Il ne faut pas s’étonner du « show » lacrymogène mis en scène dans le Staples Center de Los Angeles: par son côté messianisme « sentimentaloïde » et multiculturel; par son côté magnification du personnage et, plus encore par le celui du phénomène de la mort comme l’évènement le plus terrible qu’affronte l’homme, dans la parfaite concordance avec la négation tacite de la transcendance propre du matérialisme.
Depuis quelques jours, la globalisation a déjà son nouvel hymne – We are the world -, qu’ont chanté en choeur et au monde des individus des 5 continents tandis qu’un gigantesque écran géant inscrivait en simultané le texte à chanter avec des signes et des caractères de toutes les cultures connues. Une fillette, fille de Jackson, célébrait l’évènement en qualité de petite prêtresse d’un rituel global, dans lequel chaque enfant ou individu ne peut se reconnaître qu'en renonçant à son histoire, son ethnie, son passé, sa religion et son pays, pour s’intégrer dans la nouvelle terre promise où rien ne change.
Pas même Fukuyama (NDT : Francis Fukuyama est un philosophe et économiste influent américain d’origine japonais, né à Chicago en 1952 et connu pour ses thèses sur “la fin de l’histoire”) n’a supposé que la "fin de l’histoire" était à Neverland, pas plus que les plus féroces néo-conservateurs n’ont imaginé qu’une tournée musicale fait plus pour la « création destructive » de Michael Leeden (Néo-conservateur, une des éminences grises du président George W.Bush) que la 101ème division aérotransportée (NDT : celle du débarquement en Normandie)

Jackson est, en somme, un nouvel étendard et un nouveau modèle pour la pollution intellectuelle et le désarmement idéologique de notre jeunesse et de nos pays, quelque chose qui est appelé à perturber chaque esthétique liée à des racines pour la remplacer par des modes de vie globaux . Il s’agit d’une véritable révolution souterraine qui se cache sous la surface d’un prétendu amour du prochain et de quelques règles vaguement en concordance avec le sentiment religieux de la vie. À cela la musique «pop » fait usage de vecteur idoine pour imposer les idoles industrielles dont le nouveau « Homo economicus » a besoin, des idoles dont les raisons d’être admirées sont d’autant plus rares que leur succès est fulgurant.

Eglise de la Sainte-Famille

Et en cela, par contre Mgr Munilla se trompe profondément quand il explique « ce ne serait pas juste que nous mettions dans le même sac toutes les expériences de la musique moderne ».
L’évêque de Palencia dit qu’il existe des tentatives sérieuses de façonner un message d’espérance dans des expressions musicales innovantes, comme c’est le cas pour le groupe irlandais U2 qui était en représentation à Barcelone récemment (NDT : groupe de rock irlandais actuellement en tournée mondiale, il était au Stade de France le 11 juillet dernier). Dans une récente « interview » le soliste du groupe, Bono (NDT : Né en 1960 à Dublin, fait chevalier de la légion d’honneur par Jacques Chirac et chevalier de l’ordre de l’empire britannique sous Tony Blair qui a affirmé qu’il aurait ouvert les yeux aux membres du G8 en ce qui concerne l’Afrique…) déclarait qu’il s’était inspiré de l’architecture du maître Gaudí pour créer le plateau de sa tournée mondiale : « Gaudí faisait un lieu où les gens pouvait prier » (NDT : Gaudí est notamment l’architecte de l’église de la Sainte Famille de Barcelone et une gloire de l’Espagne. Bono a peut-être été vraiment inspiré par Gaudí, mais en tout cas il a un certain sens de l’à propos, pour ne pas dire commercial, en évoquant cette gloire nationale à Barcelone !) . « Et pour nous la musique est une prière. Parfois à Dieu, parfois à ton amour, mais toujours une prière. En effet, la clef d’un produit musical de qualité ne peut être exclusivement dans le génie de l’artiste, mais aussi dans sa proposition de sens, en outre dans la cohérence morale de sa vie ».

C’est possible qu’à quelqu’un passe une prière dans la tête en écoutant la musique de U2, de la même manière qu’il est possible qu’il y ait des églises qui prétendent inspirer la dévotion avec la musique de Metallica (NDT : groupe de « hard rock » et divers styles « metal » dont l’un des fondateurs est le Danois Lars Ulrich,- né en 1963). Mais tout cela n’est rien d’autre que des signes de rupture. Le fait qu’une chose en amène une autre et l’univers religieux est – et a été toujours depuis des siècles- un tout qui comprend chacune des sphères de ce qui est humain. Pour l’homme religieux il n’existe aucune zone de son être qui soit en marge du mystère de Dieu et, si cela arrive, c’est sans doute possible parce que cela ne fonctionne pas comme cela doit. Le fait est que l’art religieux, dans ce cas précis la musique, loin d’être inutile et sans finalité comme le prétend l’absurde individualisme contemporain, est un art utile à l’homme complet, un art qui inspire recueillement, concentration dans une vie intérieure, paix et sérénité. Y a - t’il quelque chose de cela dans un concert de U2 ? Pour toutes ces raisons, il y a un art prétendument religieux qui n’est pas du tout religieux – voyez les horribles églises espagnoles des années 70 (NDT: il n’y en a sans doute pas qu’en Espagne!) – et il y a un art présumé profane qui parle des merveilles de Dieu (NDT : qui a vu un authentique tango dansé sur une place populaire de Buenos Ayres ou un flamenco familial dans une grotte de Grenade, ne peut que constater le recueillement intérieur et pourtant profane des artistes). Il est évident que l’excitation du “rock´n´roll" de U2 reste très loin de la tranquillité intérieure de la vie religieuse même si quelqu’un prétend doter de « sens » un dégagement d’hormone grâce à autre chose qu’une déclaration sentimentale, ou à une musique psychiquement centrifuge, faite pour encourager l’équidistance culturelle en relation avec ce nouveau « Homo economicus » dont la globalisation a besoin.

En définitif, la souffrance déguisée d’opulence de Michael Jackson, si opportunément signalée par l’évêque Munilla, apparaît secondaire devant le rôle de cet autre Michael Jackson, « apôtre » d’une nouvelle ère d’hommes idolâtres de l’absurde du fait de l’énormité de leur vacuité intérieure. Contrairement à ce arrive avec le clonage comme outil de biotechnologie moderne, on se demande si l’Église est capable de faire voir le côté mortifère de ce clonage des âmes que Jackson et autres « néo-apôtres » ont répandu de par le monde. Son succès ne fait que rendre plus évident encore l’énorme vide en matière de “leadership” dans le monde occidental et la conséquence logique du “réductionnisme” économique auquel nous ont condamnés les libéraux et les marxistes.

En résumé, cette autre dimension du phénomène Jackson est sans doute appelée à provoquer plus de souffrance que celle que nous pouvons éprouver pour une des figures apparemment des plus communes mais cependant des plus idéologiques des temps qui courent.


(*) NDT : Les Diam’s, Koxie, Orelsan, Rammstein, festivals Hellfest etc… dont les œuvres, sans doute insuffisamment comprises par une non initiée comme moi, ressemblent plus à des chants guerriers d’appel à l’extermination de l’Autre et des autres (hommes dépréciés, femmes honnies, enfants sacrifiés) qu’à une musique provoquant une réflexion personnelle de l’intérieur ou adoucissant les mœurs…

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Des rois et des mendiants

Voici une traduction de la lettre de Msg Munilla qui parle de Michael Jackson. Mgr Munilla n’est pas un vieil évêque comme notre imaginaire pourrait nous le faire envisager puisqu’il est même un peu plus jeune que le « roi de la Pop » récemment décédé dont il parle…
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Diocèse de Palencia – Espagne
Lettre de Monseigneur l’Evêque José Ignacio Munilla Aguirre



Des rois et des mendiants

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Alors que venait de se produire la mort du chanteur Michael Jackson et que les media diffusaient à qui mieux mieux la nouvelle avec tous les détails et spéculations possibles, je me trouvais avec un groupe d’adolescents qui recevaient le sacrement de la confirmation. Il paraissait logique que cette nouvelle prenne ait sa place dans nos échanges compte tenu de l’éco de diffusion atteint.

Je ne pense pas qu’il soit nécessaire de convaincre quelqu’un de l’influence que peuvent arriver à avoir les stars de la musique dans notre horizon culturel, moral et spirituel, et plus spécialement pour les jeunes. Le fait qu’une icône aussi en vue de la musique moderne considérée comme le « roi de la pop », ait mené une existence si contradictoire et ait terminé ses jours d’une façon aussi douloureuse, nous invite à une réflexion sereine sur la fragilité des valeurs de la culture occidentale :
Savez-vous que moi aussi j’avais à peu près votre âge quand est mort Elvis Presley, le « roi du rock »! Cela ne vous paraît-il par une grande coïncidence que ces deux « Stars » soient mortes d’une façon si semblable? Coïncidence, pas du tout! me répondit un des jeunes, Michael Jackson lui-même avait dit qu’il avait peur de finir comme Elvis !

Il n’est pas nécessaire d’ajouter que nos jeunes pensent parfois d’une manière plus lucide que nous avons l’habitude de le supposer.

Divorce entre le goût esthétique et le bien moral
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Le fait que la culture dominante soit si profondément marquée par le subjectivisme et le relativisme, contribue plus encore, si nécessaire, à ce que le goût esthétique soit compris comme quelque chose de purement arbitraire (Des goûts et des couleurs on ne discute pas!). Il y en a beaucoup qui pensent que leurs goûts et leurs inclinaisons musicales n’ont rien à voir avec les valeurs de leur vie, d’autant plus quand dans bien des cas on a du mal à comprendre les textes des chansons.

Ce qui est sûr c’est que quelques mythes ou « icônes » de la musique ont illustré avec leur vie l’inexorable voie sans issue où les a conduit la dissociation entre l’esthétique et le bien moral de l’homme. Comment concilier le fait qu’un artiste arrive au zénith de sa carrière professionnelle et qu’en même temps augmente son niveau de désespoir ? Comment est-ce possible que l’opinion publique dirige son admiration vers des “rois” qui au fond ne sont que des “mendiants” du bonheur, un bonheur qu’ils sont incapables d’atteindre?

L’humilité de se savoir instrument
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Qu’il est difficile de se maintenir au sommet de la renommée sans se corrompre ! Qu’il est facile de tomber dans la tentation de l’orgueil qui finit par ternir la valeur de l’œuvre artistique ! Sans doute une des tentations les plus fréquentes dans ce monde du spectacle est de détourner l’attention de ce qui objectif vers ce qui est subjectif : de l’œuvre musicale au chanteur idole, du sport à l’étoile galactique… en finissant par encourager un culte de l’image qui annule la notion de nous savoir « instruments » d’un mystère de vérité et bonté qui nous précède et nous dépasse.

La vie et la mort de Michael Jackson cachent la tragédie de toute une génération incapable d’atteindre une liberté pour laquelle elle soupire. Jusqu’à quel point sommes nous marqués et conditionnés par les blessures générées par la destructuration familiale ? En quoi consiste la liberté: à faire ce que nous voulons ou a vouloir ce qu’il nous revient de faire ? En dernier ressort, le bonheur consiste-t-il à inventer une réalité selon notre caprice, ou bien mieux, vouloir accorder notre désir à la volonté divine?
Michael Jackson a été une « parabole » et en même temps une « victime », de notre époque, un « paradigme » de l’Occident en manque de bases solides, capable du meilleur et du pire, généreux et capricieux, matérialiste et idéaliste… Un génie aussi contradictoire que notre propre culture.
Il ne serait pas juste de mettre dans le même sac toutes les expériences de la musique moderne. Il existe de tentatives sérieuses de façonner un message d’espérance en des expressions musicales innovatrices comme c’est le cas du groupe irlandais U2, qui est ces jours derniers à Barcelone. Dans une récente « interview », le soliste du groupe Bono déclarait qu’il s’était inspiré de l’architecture du maître Gaudí pour créer la scène de sa tournée : « Gaudí faisait un lieu où les gens pouvaient prier .Et pour nous la musique est une prière. Parfois une prière à Dieu, parfois à ton amour, mais toujours une prière ». En effet, la clef d’un produit musical de qualité ne peut être exclusivement dans le génie de l’artiste mais aussi dans sa proposition de sens, en outre de cohérence morale de sa vie.

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Amor non est Caritas Et pourtant, en ce temps-là...