Zorro et Doña Beatriz
Je ne résiste pas au plaisir de reproduire cet article tellement gentil de Carlota (8/12/2009)
Je sais, cela ne se fait pas de faire de l'auto-promotion - encore que notre époque a de plus en plus tendance à oublier les règles de la courtoisie (ou de la décence) élémentaire. Se citer soi-même est la pire des mufleries, j'en suis consciente, et je ne me suis pas privée de critiquer le génial Hans Küng, pour l'avoir fait: oui, mais lui, il l'a fait pour une mauvaise cause, et de surcroît négative.
Carlota réagit à la publication des Statistiques du site - où je me comparais (!) à Zorro: il m'avait semblé qu'elles pouvaient en effet intéresser mes lecteurs...
Ce qu'elle dit est si gentil, et si drôle, qu'il faut que je le publie.
Ce qu'elle dit est aussi un peu exagéré, et, oui, ma modestie en souffre, mais ce n'est pas vraiment une torture, je l'avoue. Et même, au contraire...
J'ajoute deux choses:
1° Je ne suis pas seule à faire ce site (même si la mise en page me revient, et m'accable parfois): outre des contributions épisodiques, trois amies au moins y participent largement: Carlota, bien sûr, Gloria qui nous comble depuis 3 ans de ses collages beaux et imaginatifs, témoignages d'amour et chroniques du Pontificat, et Jeannine avec sa lettre devenue une rubrique récurrente, et très attendue.
2° Carlota, il ne faut surtout pas avoir de remords "de m'envoyer trop souvent des courriers"! Si je ne publie pas tout (à mon grand regret) c'est parce que, comme je viens de l'expliquer, la lecture et surtout la mise en page me prennent du temps ... que je n'ai pas toujours.
Zorro et Doña Beatriz
J'aime beaucoup don Diego de la Vega, toujours fidèle à son Roi, dans la Californie lointaine du début du XIXème siècle, menacée de l'intérieur comme de l'extérieur.
Je crois que les « scores » (même si ce n'est pas le but en soi) enregistrés sur « benoit-et-moi » sont plus qu'honorables sur la toile, pour ne pas dire formidables et montrent bien que nous sommes nombreux à demander du parler vrai, dans un respect et une obéissance toute filiale, autour du très Saint Père et de l'Église. J'ajouterai que « benoit-et-moi » est d'autant plus formidable (ndlr: ...) que Béatrice est seule pour l'animer quotidiennement et c'est presque, même si cela lui apporte, j'en suis sûre, beaucoup de joie, un véritable « sacerdoce » si je puis m'exprimer ainsi. Mais je n'insisterai pas car sa modestie ne va pas lui faire aimer mes propos !
À mon niveau, par contre, j'ai un gros remord, celui de lui envoyer trop souvent des courriers qui donnent plus l'impression de lui présenter avec une fougue toute ibérique une épée bien plus représentative du méchant capitaine Monastario que du dévoué serviteur muet Bernardo qui n'en est pas moins un conseiller plein de sagesse et de bonté!
Carlota
