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Et si on passait à autre chose?

Ne parler que des "abus sexuels", c'est faire le jeu de l'ennemi (7/4/2010)

7 avril
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Je suis de plus en plus convaincue qu'il est contre-productif de relayer les attaques.
Même si cela devient lassant, cela ne s'arrêtera pas, ne serait-ce que par les intérêts financiers énormes en jeu.

Je viens de revoir (en fait, je l'ai recherché tout exprès) un film américain assez ancien, 1989, d'un nommé Howard Zieff, qui m'a semblé une parabole de la situation actuelle: le titre français est "Une journée de fous": la première chose que fait l'un des protagonistes du film (mettant en scène quatre pensionnaires d'un asile psychiatrique qui se retrouvent livrés à eux-mêmes à New York) est de ramasser les saletés dans la rue avec une balayette. Tâche insurmontable, aussi dérisoire et aussi vaine, que répondre aux attaques quotidiennes contre l'Eglise
Mais on peut aussi passer à autre chose, et les sujets ne manquent pas. D'autant plus qu'en ne parlant que de cela, on fait le jeu des ennemis, réduisant le pontificat à une dimension très en deçà de sa réalité: on commence en effet à lire comme une défense "Ce Pape restera dans l'histoire comme celui qui a réglé les affaires de pédophilie dans l'Eglise".
C'est évidemment une énormité.

Je vais donc essayer de parler d'autres sujets.
En commençant par un billet du Père Scalese, soulignant la véritable clé de lecture de ce pontificat, à partir du discours "programmatique" des voeux à la Curie romaine de 2005.
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