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Mort de Ben Laden

La déclaration du Père Lombardi (2/5/2011)

Que s'est-il vraiment passé?
Sans être un complotiste invétéré, tout cela sent furieusement la manipulation: le corps jeté à la mer (1) - si la nouvelle est avérée - interdisant toute investigation ultérieure, en particulier des tests ADN qui s'imposeraient en une telle circonstance, (alors que l'unique souci des medias semble être pour l'instant de savoir si le rite funèbre musulman a bien été respecté!!!!); l'annonce soigneusement scénarisée (déjà qualifiée de plus important discours de son mandat présidentiel!) de Barack Obama, en pré-campagne électorale, et dans une passe difficile chez lui.
Sans parler du fait - connu depuis longtemps - que la mythique organisation "Al Quaïda", dont le nom sert à désigner un ennemi que l'on n'a pas le courage de nommer autrement est une armée sans chef, donc une hydre à 1000 têtes, dont la mort de Ben Laden n'interrompra pas l'activité (Eric Zemmour a parlé à juste titre ce matin de "franchises", c'est bien vu!). Pire! Cette "mort", ranimant la solidarité musulmane contre l'occident, pourrait faire exploser ladite activité.

Le moment viendra de s'interroger sur le traitement médiatique destiné à des nourrissons attardés.

Pour le moment, j'apprécie la belle réponse donnée par le Père Lombardi (il parlait en son nom propre) à des questions posées par des journalistes:
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Oussama Ben Laden - comme nous le savons tous - a eu la très grave responsabilité de répandre la division et la haine parmi les peuples, causant la mort d'innombrables personnes, et d'instrumentaliser la religion à cette fin.

Face à la mort d'un homme, un chrétien ne se réjouit jamais, mais réfléchit sur la grave responsabilité de chacun devant Dieu et devant les hommes,
et espère, et s'emploie afin que chaque événement ne devienne pas l'occasion d'une croissance supplémentaire de la haine, mais de la paix.

(1) La destruction des pièces à conviction (en l'occurrence, du cadavre) est un grand classique du polar. L'assassin, c'est bien connu, préfère escamoter les preuves qui le compromettent. Comment se fait-il qu'aucun de nos brillants journalistes, et autres bonimenteurs professionnels, n'y ait pensé?

D'Italie: deux réflexions sur la béatification Joseph Ratzinger explique Jean-Paul II (2)