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Rétrospective 2011

La "profession de foi" d'un jeune belge courageux, après le traitement réservé au "massacre de Liège" du 16 décembre dernier par la bien-pensance médiatique. Une vidéo à découvrir. (1er/1/2012)

Image ci-contre: Le Prince Philippe et la Princesse Mathilde rendent hommage aux victimes, Place Lambert, le 20 décembre 2011.

Sans doute cette video peut-elle être récupérée par des gens qui font de la haine leur fond de commerce. Et en fera-t-elle bondir d'autres, qui font aussi de la haine leur fond de commerce. Il ne sont pas du même bord, mais ils se rejoignent dans la haine. Dieu merci, je n'appartiens à aucune de ces catégories.
Pour moi, c'est une profession de foi courageuse et nécessaire (ou alors, on disparaît!!).
Et qu'on m'explique en quoi elle s'oppose au message de l'Eglise!
Je pense au contraire que chaque reniement de notre part est une lâcheté - dont nous paierons le prix tôt ou tard; et qu'il n'y a acune honte à "assumer" sa foi et sa couleur de peau, quelle qu'elle soit. On nous le répète assez! (à moins que cela ne vaille pas pour tout le monde?)

En regardant ctette video, j'ai pensé au discours prononcé par Benoît XVI devant le Parlement à Westminster Hall, le 17 octobre 2010 (ici)

La religion (...) n’est pas un problème que les législateurs doivent résoudre, mais elle est une contribution vitale au dialogue national. Dans cette optique, je ne puis que manifester ma préoccupation devant la croissante marginalisation de la religion, particulièrement du christianisme, qui s’installe dans certains domaines, même dans des nations qui mettent si fortement l’accent sur la tolérance. Certains militent pour que la voix de la religion soit étouffée, ou tout au moins reléguée à la seule sphère privée. D’autres soutiennent que la célébration publique de certaines fêtes, comme Noël, devrait être découragée, en arguant de manière peu défendable que cela pourrait offenser de quelque manière ceux qui professent une autre religion ou qui n’en ont pas. Et d’autres encore soutiennent – paradoxalement en vue d’éliminer les discriminations – que les chrétiens qui ont des fonctions publiques devraient être obligés en certains cas d’agir contre leur conscience. Ce sont là des signes inquiétants de l’incapacité d’apprécier non seulement les droits des croyants à la liberté de conscience et de religion, mais aussi le rôle légitime de la religion dans la vie publique. Je voudrais donc vous inviter tous, dans vos domaines d’influence respectifs, à chercher les moyens de promouvoir et d’encourager le dialogue entre foi et raison à tous les niveaux de la vie nationale.