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Rectificatif

... pour ma grande confusion (7/9/2013)

Une lecteur me fait observer une erreur dans une traduction que j'ai faite d'un article de La Repubblica, et je m'en excuse sincèrement.
Je me suis servie de la transcription, en pdf, du site "Fine settimana.org" et j'ai malencontreusement oublié une phrase:
J'avais en effet écrit:

...
Chaque jour, après le réveil le matin, et les deux heures passées seul à prier, François préside une messe où l'homélie est adressée aux fidèles a braccio. Puis la vie à Sainte Marthe, les repas pris avec les hôtes du jour. Même les audiences sont à l'enseigne de l'informalité. La plupart des gens sont invités à s'intaller dans une salle où le Pape entre après avoir frappé à la porte, sans se faire annoncer. De Sainte Marthe, François sort souvent à pied, improvisant une visite aux ouvriers travaillant au Vatican (9 août) ou aux fidèles venus dans les grottes vaticanes pour prier sur la tombe de Paul VI (6 août).
Recevant en audience le directeur de l'OR, il vit celui-ci s'agenouiller devant lui. Le Pape resta perplexe, et demanda: «Vous vous sentez mal?».
Comme François, il voulait une curie de service, et non de privilège.
(phrase pas vraiment claire...)
(http://benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/le-telephone-du-pape-franois.html )

J'ai vraiment eu un moment d'inattention involontaire, en lisant le texte que j'avais imprimé (cela m'avait d'ailleurs paru bizarre), et en faisant la traduction sur ma tablette.
Voici la phrase que j'ai oubliée, et qui est à placer juste avant le passage en gras:

Roncalli arriva après PIE XII. La première nouveauté fut de style....
Recevant etc...

J'ai fait une faute, mais en toute bonne foi, et je ne cherche pas d'excuses... Sauf que ce n'est pas éloigné des propos de François, cités par des vaticanistes "sérieux", demandant à un interlocuteur de le tutoyer, comme on tutoie un ami. Ce que j'ai lu, par erreur, ne m'a pas fait tomber de ma chaise.

Ceci dit, j'aimerais que les journaux qui, comme la Repubblica, publient régulièrement de fausses nouvelles, en particulier sur la papauté, aient la correction de faire leur mea culpa, devant les démentis des faits, comme je le fais ici très volontiers.
Je remercie la personne qui m'a signalé la coquille. Mais je me souviens pas d'avoir vu démentir avec une telle promptitude les fausses informations dont Benoît XVI a fait l'objet pendant huit ans.

J'ai rectifié sur la page incriminée.