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L'agression des femen contre le cardinal Rouco

Le récit, publié sur le site Religion en Libertad (et des photos assez terribles). Traduction de Carlota (5/2/2004)

Il y a deux jours, j'ai publié un article (Union maléfique pour l'avortement) relatant entre autre l'agression sauvage dont venait d'être victime le cardinal archevêque de Madrid de la part de femelles (euh... femen) en rut. Pardon pour la vulgarité du mot, qui ne devrait pas avoir sa place ici, elle n'est rien à côté de celle de ces furies dépoitraillées. Le pire, c'est que cette agression, dont on n'ose imaginer le tintamare planétaire qu'elle aurait déclanché si elle avait été le fait d'autres groupes et avaient ciblé d'autres personnalités (..), n'a pratiquement eu aucun écho médiatique, suscitant tout au plus un haussement d'épaule amusé ou un demi-sourire indulgent, quand ce ne sont pas des applaudissements.
Carlota a traduit un article du site espagnol religion en libertad, relatant l'agression.
Elle commente les photos:
Une photo montre des Femen avec des croix renversées, au moins le Malin signe ! L’on voit très bien le cardinal (qui a passé 75 ans) encerclé par ces furies, tandis que les prêtres font barrage.

L'article pose la question-clé "qui sont les femen?", et surtout "qui les finance?", citant un article de Massimo Introvigne (www.lanuovabq.it/it/articoli-femen-la-realta-messa-a-nudo) - que j'ai lu, mais ne me souviens pas avoir traduit... Par contre, j'en avais traduit un autre sur ce sujet, issu du site Corrispondenza Romana: benoit-et-moi.fr/2013-I/articles/qui-sont-les-femen.php

     

“Arguments de l’avortement: 5 féministes, les seins à l’air, attaquent le cardinal Rouco et lancent des culottes rouges.
Original ici www.religionenlibertad.co
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Cinq activistes du mouvement abortif Femen, les seins à l’air, ont abordé, au cri de « l’avortement est sacré », le cardinal Antonio María Rouco [Varela], archevêque de Madrid et président [de la conférence] des évêques espagnols, alors qu'il se disposait à rentrer dans l’église des Saints Juste et Pasteur, dans la rue de la Palma, à Madrid.

L’incident s’est produit aux alentours de 20 heures (dimanche 2 février 2014), sur le bref parcours entre le véhicule dans lequel s’était déplacé le cardinal et l’entrée de l’église, un moment dont ont tiré profit les cinq activistes pour lancer des culottes tachées de rouge sur le cardinal Rouco.

Le cardinal escorté par les prêtres, a réussi à entrer dans l’église pour célébrer la messe tandis que les abortistes criaient à maintes reprises dans la rue, le poing levé, leur slogan : « l’avortement est sacré ».

Sur leurs corps on lisait le mot “Femen”, le nom de ce mouvement né en Ukraine qui passe des contrats, entre autre, avec des prostituées de bonne prestance et qui paie des sommes importantes à celles qui participent mais seulement si les photos de leurs actions sont publiées… c’est pour cela qu’il est indispensable d’en arriver à des scènes de nus et à l’agression blasphèmatoire, avec des éléments réitérés christianophobes.

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[…] Le journaliste rappelle deux attaques des Femen : Mgr Léonard, primat de Belgique (Pas de pourpre pour Mgr Léonard) , et le cardinal Meisner dans la cathédrale de Cologne pour la messe de Noël 2013, et il aurait pu rajouter ND de Paris, l’horrible scène à la Madeleine, sur la place Saint Pierre à Rome, etc.. (1)

D’après ce que rapportent les agences de presse, quand les attaquantes du cardinal Rouco se sont retirées, après avoir crié leur slogans et que l’entrée principale de l’église s’était refermée, certains personnes ayant assisté à l’événement les ont applaudies ou les ont acclamées .

Qui les finance?

Récemment Massimo Introvigne, le chargé de l’OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération Européenne) pour la lutte contre la christianophobie a analysé dans un article que selon le documentaire de Kitty Grenne sur les Femen, ce mouvement a été créé par un entrepreneur ukrainien, Victor Sviatsky, pour “avoir des filles”; d’après l’expert sociologue, elles disposent de finances et d’accès à des moyens (laissez-passer à des sommets européens, par exemple) qui indiquent que derrière il y a des puissants avec de l’argent et une idéologie claire liée à la promotion de l’avortement, l’homosexualisme radical et la christianophobie.

Qu’elles écrivent sur leurs corps celui qui les paie et combien il les paie”, demandait Massimo Introvigne. Comme dans d’autres enquêtes de corruption…”follow the money”, suivez l’argent.

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(1) Voir aussi l'agression de Christine Boutin par les "liliths": benoit-et-moi.fr/2013-III/actualites/les-liliths-agressent-christine-boutin.html