Qui était Jésus (suite)

Monique T. réagit - avec vigueur - à la scandaleuse diffusion par France 3 de l'émission "L'Ombre d'un doute", le lendemain de Noël (27/12/2012)

Cf.
Qui était Jésus: France 3 bégaie avec notre argent

     

On ne sait comment qualifier ce genre d'émission, programmée le lendemain de Noël, le jour de la fête de St Etienne, premier martyr.
On ne concède aux chrétiens que le droit d'être des martyrs. Quelle délicate attention pour la fête de Noël. Imaginons qu'à l'occasion d'un Aïd, on passe une émission présentant Mahomet comme un brigand!
La volonté d'HUMILIER les chrétiens est manifeste. On leur dit: voilà ce que vaut votre foi; elle repose sur du vent et vous êtes bien sots de croire à ces fadaises! C'est devenu une habitude. A chaque fête chrétienne, on nous sert une émission démontrant l'inanité du christianisme, animée par les mêmes sempiternels imposteurs (souvenons-nous de la série de Mordillat-Prieur Corpus Christi, re-re -rediffusée sur Arte et France 5 durant la Semaine Sainte depuis 1997, elle aussi présentée comme une "quête du Jésus historique").
Quel mépris pour les croyants!
Le mal produit par ces émissions est INCALCULABLE. On a tort de minimiser leur impact. Elles détruisent toute curiosité chez les "chercheurs de Dieu" dont parle Benoît XVI dans ses catéchèses sur la foi. Un jeune qui commence à s'intéresser à l'Evangile pensera qu'il faut se détourner de ces "fables" au plus vite et que l'Eglise ment depuis des siècles. C'est triste à dire mais on accordera plus de crédit à un faux spécialiste se pavanant à la télévision (comme Frédéric Lenoir) qu'à notre saint Pape (dont l'enseignement n'est d'ailleurs jamais transmis à la télévision)!

Les évêques devraient faire un communiqué après chacune de ces émissions! La liberté d'expression ne doit pas être le privilège exclusif des ennemis du christianisme. Ce n'est pas à la mode de dire cela mais il y a un combat à mener pour défendre la foi. Tout laisser passer sans rien dire n'est pas de la charité chrétienne mais de la sottise et de la lâcheté.

Caritas in veritate: voilà ce que défend toujours notre Pape.

Monique T.