Laudato si' et l'agenda mondialiste
Sur le site <The Remnant>, une déclaration d'Elizabeth Yore, avocat international des droits de l'enfant
(Giacomo cardinal Biffi, " La donna ideale ", cité par Antonio Socci)
L'Encyclique du Pape
Une déclaration d’Elizabeth Yore, avocat international des droits de l'enfant
remnantnewspaper.com
22 juin 2015
Traduction de Anna
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En tant que membre de la délégation de l'Institut Heartland (ndt: la notice wikipedia est très partisane!!) qui s'est rendue à Rome pour exhorter le Vatican à revenir sur sa décision d'embrasser et d’adopter l'agenda radical du Développement Durable des Nations Unies, l'encyclique Laudato Si' du Pape François confirme mes pires craintes.
Tout au long des deux dernières années, en préparation du lancement de l'encyclique, le Vatican s'est appuyé uniquement sur les alarmistes du réchauffement global, se hâtant vers ses conclusions dans le but de respecter les échéances des Objectifs 2015 du Développement Durable des Nations Unies. Par ailleurs, au cours du processus, le Vatican a consulté principalement et continue de s'appuyer sur des promoteurs radicaux du contrôle démographique, qui utilisent la science discréditée du changement climatique pour justifier leurs politiques extrémistes de réduction des populations sous la rubrique nuancée de "santé reproductive" des Nations Unies.
Au lieu d'accueillir notre profonde désapprobation des experts papaux qui promeuvent des politiques contreventant directement à l'enseignement moral catholique, les autorités du Vatican ont tourné en dérision nos objections sérieuses et fidèles, nous qualifiant de "partisans du Tea Party" et de "négationnistes". Une réponse méprisante et cavalière qui exposait clairement l'agenda politique du Vatican.
La publication de Laudato Si' apporte l'autorité morale tant attendue à la stratégie environnementale immorale et radicale des Nations Unies, de réduction de la population mondiale grâce aux tactiques élaborées du Développement Durable sur l'avortement, la stérilisation et autres services de "santé reproductive". Ironiquement, le Vatican a exprimé à plusieurs reprises l'espoir que l'encyclique soit utilisée pour promouvoir en septembre les Objectifs du Développement Durable des Nations Unies et le Traité sur le Climat de Paris en novembre.
En janvier 2015 l'Administrateur de l'Agence américaine de protection de l'environnement (cf. notice Wikipedia: La U.S. Environmental Protection Agency est une agence indépendante du gouvernement des Etats-Unis et son Administrateur est nommé directement par le président des Etats-Unis) a rencontré de hauts responsables du Vatican afin de coordonner l'encyclique avec les politiques et les règlements de l'Administration Obama en matière d'environnement. Dès les premières phases de cette alliance contre nature, le Vatican, l'administration Obama et les Nations Unies ont coordonnés étroitement leurs experts partisans, leur message alarmiste, et leurs politiques radicales pour fabriquer une crise climatique afin de promouvoir une nouvel ordre mondial radical.
Le plus grand danger pour l'environnement mondial et la survie de l'humanité est la promotion constante de l'avortement dans le monde entier. Comme nous en avons à plusieurs reprises averti le Vatican, l'encyclique du Pape sera utilisée par les Nations Unies afin de poursuivre sa politique globale de l'avortement comme moyen de contrôle de la population mondiale, en utilisant la fausse science du réchauffement climatique et ses tactiques alarmistes complémentaires d'intimidation, contrainte et incitation des pays en développement à utiliser ses politiques de réduction de la fertilité de leur population et d'avortement de ses enfants.
En dépit du langage pro-vie standard du document, cette encyclique sera citée comme la plateforme morale pour le mouvement de contrôle démographique radical des Nations Unies incorporé dans les Objectifs du Développement Durable.
Telle est la nouvelle religion mondiale de l'écologie promue par l'Église catholique.