(Heureusement, y’a Ségolène) . On n’oblige évidemment personne à regarder cette exhibition vomitive de tarés et d’obsédés sexuels qui auraient plus leur place dans un zoo que sur une scène, mais le fait que le spectacle, plus proche de Freaks que du music hall, soit diffusé au son des cymbales médiatiques à une heure de grande écoute interpelle quand même. Et année après année, il semble qu’il y ait un crescendo dans l’l’horreur.

L'artiste suisse Nemo a remporté l'Eurovision 2024

Je n’ai évidemment pas regardé, mais j’ai eu des échos, et l’image du vainqueur (ou de la vainqueuse?) non-binaire (quesaco?) dans sa veste de plumes et sa jupette rose a fait le tour (triomphal) du réseau et c’est une synthèse édifiante (façon de parler, évidemment).

Mais hélas, c’est loin d’être tout, nous dit AM Valli… Le pire est ailleurs.

Cela s’écrit ‘Eurovision’, il faut lire ‘Bal de Satan’

Après les horreurs diffusées à la télévision lors du concours de l’Eurovision 2024, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Vladimirovna Zakharova, a ouvertement dénoncé le satanisme occidental sur les réseaux sociaux :

« L’Eurovision 2024 a surpassé toute orgie, sorcellerie ou sacrilège rituel. Les funérailles de l’Europe occidentale se déroulent comme d’habitude. Pas de surprise ».

Comment lui donner tort ?

Les images parlent d’elles-mêmes. Je vous en propose une seule. Le festival a été un triomphe de pentagrammes et d’obscénités, pour la plupart de nature homosexuelle. Une authentique danse de Satan donnée en pâture à des millions de téléspectateurs, parmi lesquels de nombreux jeunes. Une abjection sans vergogne et sans limite. Et qu’on ne vienne pas dire que ce n’est qu’un carnaval.

. . . . . .

Pas un représentant politique, au moins en activité, pour s’émouvoir de cette plongée dans les égouts. Où se sont-ils planqués pour ne pas avoir à prendre position?

Bravo donc à l’exception Ségolène Royal, sans doute se permet-elle cette petite insolence parce qu’elle n’a plus de responsabilités politiques et n’a donc rien à perdre. Cela n’en reste pas moins appréciable, et c’est presque une bouffée d’air frais dans les miasmes putrides de la Kulture d’aujourd’hui.

A lire en entier!!!

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