L’article dans lequel AM Valli avouait ses doutes croissants concernant la légitimité de François dans la succession apostolique (cf. les doutes d’AM Valli commencent à être des certitudes) a suscité un certain nombre de réactions. J’extrais de la dernière un passage qui m’a frappée, parce qu’il évoque directement une intervention divine et que moi aussi, au moins par intermittence, j’ai eu la même – disons – intuition que l’auteur du post – et tant pis si elle fait sourire ceux qui ignorent que l’Eglise est une institution divine.

Bergoglio, pape ou pas pape?

(…) Dans sa Déclaration du 11 février 2013, Benoît XVI déclare :

« Après avoir examiné à plusieurs reprises ma conscience devant Dieu, je suis arrivé à la certitude que mes forces, en raison de mon âge avancé, ne sont plus aptes à exercer de manière adéquate le ministère pétrinien ».

Nous savons tous que Benoît XVI ne gaspillait pas les paroles, et, encore plus, qu’il ne les prononçait pas à la légère; le fait qu’il parle d’une certitude acquise après un examen de conscience minutieux fait donc penser à certains, dont je fais partie, qu’il a reçu une révélation extraordinaire du Seigneur.

Si tel était le cas, cela signifierait que le Christ lui-même a voulu la renonciation, qu’il en a inspiré la formulation inédite et qu’il a permis l’élection qui s’en est suivie.

Pourquoi aurait-il fait cela ?

Cela reste un grand mystère. Mais il est certain qu’à partir de cette date et jusqu’à aujourd’hui, les cartes ne sont plus cachées, et que le Jésus de l’Église actuelle est l’antagoniste direct du Christ.

(…)


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