Une interminable cérémonie d’ouverture sous une pluie diluvienne qui a duré 4 heures (vous croyez aux signes du ciel? moi oui), aussi vulgaire et laide qu’on pouvait s’y attendre (en espérant quand même toujours un petit sursaut qui n’est jamais venu), et surtout d’un ennui sidéral: j’ai regardé jusqu’au bout, par paresse plus qu’autre chose, il serait plus exact de dire que j’ai « comaté » dans le canapé, ce que je ne fais jamais. L’esprit olympique était très loin, le baron Pierre de Coubertin a dû se retourner dans sa tombe. Quant à la célébration de la France, celle de Jeanne d’Arc, des Rois, de Napoléon, n’en parlons même pas. C’était au contraire la célébration de l’anti-France.
Philippe de Villiers résume parfaitement le tout, en deux « tableaux ».

Le type nu déguisé en Bacchus, il s’appelle, paraît-il, Philippe Catherine
(quel rapport avec le sport?)

Et en prime (ou plutôt en « malus »)… Lady Gaga star planétaire que je ne connaissais que de nom (et quel nom!), et Aya Nakamura, que je découvre aussi dans ses oeuvres. Au vu de leur élégante performance, j’aurais largement pu m’en passer.

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