A ne surtout pas manquer. En ce Dimanche de la Pentecôte (dont la signification religieuse disparaît progressivement au profit d’un banal « long week-end », un parmi d’autres, dans le calendrier laïque qui rythme désormais nos jours dans la société déchristianisée), cette image vaut plus que toutes les homélies (ou presque toutes…), le Salon Beige propose l’analyse d’un tableau de Le Greco. Impressionnant et magnifique. On croirait y être.

La Pentecôte est racontée au début du chapitre 2 des Actes des Apôtres. Les apôtres sont tous ensemble au cénacle, une salle haute.

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« Tout à coup, il vint du ciel un bruit comme celui d’un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. » (Ac 2, 2)

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Pour bien montrer que c’est une chambre haute, Le Greco peint un escalier, au bas duquel se trouvent deux apôtres. Plutôt qu’un simple plafond, il crée une voûte, la pièce ressemblant ainsi à une chapelle avec une coupole.

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Après ce grand bruit, « ils virent paraître des langues séparées, comme de feu ; et il s’en posa (une) sur chacun d’eux » (Ac 2, 3).

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La suite ICI: lesalonbeige.fr

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