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Nobel de littérature: et pourquoi pas un prix Ikea?

Nobel de littérature: et pourquoi pas un prix Ikea?

Cette année encore, les lauréats (ils sont deux) du Prix Nobel de littérature n’échappent pas à la caricature politiquement correcte, féminisme et/ou tiersmondisme, qui est sa marque de fabrique. Réflexion « virile » (gros mots d’origine!) de Marcello Veneziani, entre sarcasme et provocation. Il a relu la liste des primés depuis 1901, pour y relever non pas ceux qui y figurent, mais ceux qui n’y sont pas. Et sa conclusion (adressée au jury suédois) est sans appel: décernez un prix Ikea, au moins, là, vous êtes compétents.

Apprendre de saint François

Apprendre de saint François

« Le Saint d’Assise nous unit, le Pape du même nom nous divise ». Marcello Veneziani a écrit ce billet le 4 octobre, fête de Saint François, mais sa réflexion dépasse le calendrier (et les frontières!), surtout au moment où va s’ouvrir un synode davantage tourné vers l’écologisme politique que vers le soin de la Création confié à l’homme par Dieu, et où le saint d’Assise risque d’être une fois de plus instrumentalisé pour une cause discutable.

Nouvel humanisme, ou nouvelle humanité?

Nouvel humanisme, ou nouvelle humanité?

Le Pape en est aujourd’hui le premier prédicateur, et le premier sponsor du « Migrant », à travers des messages et des actes répétés (dernier en date, un monument en bronze érigé sur la Place Saint-Pierre, qu’il a inauguré aujourd’hui) . Marcello Veneziani énumère les objections à l’ « accueil » des migrants, en faisant appel à saint Thomas d’Aquin, qui établit une hiérarchie précise pour nos préférences.

François s’en va-t-en guerre

François s’en va-t-en guerre

Plaidoyer pour le souverainisme et réfutation des propos scandaleux du Pape dans sa dernière interview à la Stampa, où il assimilait les souverainistes d’aujourd’hui aux nazis d’hier. Vigoureux recadrage de Marcello Veneziani

La gauche, c’est bien, la droite, c’est mal

La gauche, c’est bien, la droite, c’est mal

Dans la série des articles de l’été s’écartant (seulement) en apparence du sujet de ce blog, une réflexion entre sarcasme et amertume de Marcello Veneziani sur la condition d’homme de droite, comparée au statut intouchable de la gauche