Bilans
Laissons-lui la parole
Dimanche 27 avril, après avoir ordonné 29 prêtres du diocèse de Rome dans la Basilique Vaticane, (et précisons, à l'intention des malfaisants qui avaient sciemment fait courir des rumeurs alarmantes sur sa santé que la messe a duré 2 heures 30 et que le Saint-Père était rayonnant, ainsi qu'en témoigne le direct sur Telepace) Benoît XVI a récité, comme d'habitude, le Regina Coeli, depuis la fenêtre de son bureau, devant les fidèles extrêmement nombreux rassemblés place Saint-Pierre.
Ils étaient si nombreux, en fait, qu'il n'a pas pu les saluer par groupes, comme il a coutume de le faire, et qu'il s'en est excusé avec sa gentillesse habituelle en leur disant 'Vi abbraccio tutti spiritualmente'.
Tel est en effet le pape "si européen et si froid"...
Avant d'annoncer que la prochaine Audience Générale reviendrait plus longuement sur ce thème, il a évoqué brièvement son voyage en ces termes:
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"Je remercie Dieu, car il a béni largement cette singulière expérience missionnaire que j'ai faite, et il m'a concédé de me faire l'instrument de l'espérance du Christ pour cette Eglise, et ce pays.
En même temps, je le remercie, car j'ai été moi-même confirmé dans l'espérance par les catholiques américains.
En effet, j'ai trouvé une grande vitalité, et la volonté décidée de vivre et de témoigner la foi en Jésus".
Editorial
Pourquoi le Saint-Père devait se rendre aux Etats-Unis, et pourquoi le succès médiatique est important. (23/4/2008)
La suite ici: Les apparences, et le fond
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