Dernière campagne contre l'Eglise

La guerre gay contre l'Eglise et dans l'Eglise...
Il a vraiment dû penser qu'il n'avait plus les forces d'endiguer ce torrent de boue Mais ce n'est pas pour cela qu'il part (22/2/2012)

     

En lisant et en entendant la nouvelle ce matin (instantanément relayée par les medias parmi les plus ardents zélateurs de l'homosexualisme), j'ai immédiatement pensé qu'il ne s'agissait pas d'un énième bobard, mais bien plutôt du dernier épisode en date de la guerre féroce, la guerre à mort, que le lobby homosexualiste a engagée contre le Pape dès le début de son pontificat. Simplement parce qu'ils savaient qu'il allait faire le ménage.
Quant à Benoît XVI, il n'a évidemment rien découvert de nouveau, il sait depuis longtemps à quoi s'en tenir. Mais certains s'acharnent à jeter une ombre sur son départ, et à lui gâcher ce dernier moment de communion avec les fidèles.

(Source)

Il m'est revenu en mémoire plusieurs articles de La Bussola, que j'avais lus, mais pas traduits (je n'avais pas compris la portée), en particulier cette interviewe d'un théologien polonais, «Una lobby gay condiziona la Chiesa», datant du 21 décembre, le jour-même de la présentation des voeux à la Curie Romaine:
(cf. www.lanuovabq.it)

Cet article sur Il Giornale, me paraît crédible - avec les réserves qui s'imposent, évidemment.

     

La guerre gay dans l'Église qui a secoué le pape
C'est la vraie affaire derrière les Vatileaks: le 17 Décembre, le Pape a reçu le rapport des enquêteurs cardinaux. 4 jours après, le discours contre "l'idéologie du genre"
http://www.ilgiornale.it/

Maurizio Caverzan
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Don Oko Dariusz, théologien du département de philosophie à l'Université Pontificale Jean-Paul II à Cracovie, l'avait vivement dénoncé dans plusieurs revues internationales : «Dans l'Église, un puissant lobby homosexuel agit».

C'était le 21 Décembre, quand son «j'accuse», sur le site La Nuova Bussola Quotidiana, était relayé par Il Giornale.
Les dates sont importantes, et Décembre, un mois crucial pour Benoît XVI.
Parce que quelques jours plus tôt, le 17, les trois cardinaux chargés par lui d'enquêter sur les scandales de Vatileaks, l'espagnol Joseph Herranz, l'italien Salvatore De Giorgi et le slovaque Josef Tomko, avaient déposé leur dossier sur son bureau. Selon les nouvelles qui filtrent sur l'imposante Relationem, aujourd'hui, la dénonciation de don Oko assume une lumière différente.

La plus grande parties des luttes intestines et des scandales qui ont affligé les journées du Pontife et rempli les journaux et les télévision du monde entier, aurait une source de nature sexuelle. Plus précisément, homosexuelle. D'après ce que rapporte Conchita De Gregorio sur "la Repubblica" (ndt: !!!), dans les conversations régulières entre les trois cardinaux (ndt: il ne peut s'agir que de rumeurs!) et le pape Benoît XVI, on a parlé d'un véritable chantage. «Impropriam Influentiam», est l'expression latine utilisée. Influence indue. Et répandue au point que même les luttes dans l'IOR seraient gâtés par le non-respect du septième commandement (ndt: Le bien d'autrui tu ne prendras, ni retiendras injustement).

Dans cette interview du 21 Décembre, le théologien polonais parlait de l'homo-hérésie soutenu par un important groupe de théologiens «qui rejettent l'enseignement de l'Église sur l'homosexualité» et «n'acceptent pas que la tendance homosexuelle soit un trouble de la personnalité». Et même, , ils la justifient et s'opposent à l'interdiction d'entrée dans les séminaires pour les personnes ayant des tendances homosexuelles. Des théologiens, professeurs et psychologues qui défendent l'«idéologie du genre» enseignent, bien protégés, dans les universités ecclésiastiques très cotées.

Dans la matinée, alors que personne ne l'imagine dans les Palais sacrés, le pape prononce un discours pour la présentation des vœux de Noël de la Curie romaine (cf. benoit-et-moi.fr/2012(III) - à l'époque, j'avais pensé seulement à la France sur le point de légaliser le "mariage" gay). Il parle de l'expérience édifiante du dernier voyage à Milan, dédié à la fête de la famille. Mais il parle aussi de «l'attaque, à laquelle nous nous trouvons exposés, à la forme authentique de la famille composée du père, de la mère et des enfants». Selon les chercheurs cités par Benoît XVI, cette philosophie est basée sur l'affirmation de Simone de Beauvoir: «On ne naît pas femme, on le devient». Dans ces mots, approfondit Ratzinger, «se trouve le fondement de ce qui aujourd'hui, sous le mot "gender", est présenté comme une nouvelle philosophie de la sexualité. Le sexe, selon cette philosophie, n'est plus un fait originel de la nature que l'homme doit accepter et remplir personnellement de sens, mais un rôle social que l'on décide de façon autonome». C'est une pensée en opposition explicite evec le récit de la création? Mâle et femelle il les créa».
A cette occasion, les observateurs les plus attentifs ont souligné que les paroles vibrantes de Benoît XVI étaient adressés aussi à l'intérieur de l'Eglise, à l'intérieur même de la curie.

Le 27 Février, le Saint-Père reçoit en audience privée les cardinaux auteurs de la Relationem (???).