L'histoire séparera le bon grain de l'ivraie
Une nouvelle interviewe de Mgr Gänswein dans "Palabra" un magazine espagnol très diffusé en Amérique latine (13/3/2014)
Matteo Matzuzzi écrit aujourd'hui sur Il Foglio :
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«L'histoire va séparer le bon grain de l'ivraie», dit Gänswein
«Nous devons faire attention à distinguer les vrais problèmes de ceux virtuels, qui n'apparaissent que dans les médias ou qui sont créés par les médias». La réalité réeelle et la réalité communiquée ne concordent pas toujours. Et cela vaut aussi, et surtout, pour le pontificat de Benoît XVI ".
C'est seulement l'un des passages de la longue interview du journaliste Giovanni Tridente à Mgr Georg Gaenswein. Le texte est paru dans le numéro de Mars de Palabra, un magazine espagnol également très diffusé en Amérique latine.
Mgr Gaenswein retrace les principales étapes de sa formation et raconte comment il est entré en contact avec Joseph Ratzinger. Et sur ce dernier, il s'attarde encore:
«Je crois qu'au bout d'un an, un cetain nombre parmi ceux qui critiquaient Benoît XVI se sont aperçus que beaucoup de leurs critiques n'étaient pas fondées. Je suis convaincu que l'histoire aidera à établir les choses, et à séparer le bon grain de l'ivraie: le bien du mal; ce qui est vérité de ce qui compte pour rien».
(http://www.ilfoglio.it/altromondo/44)
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L'interviewe est traduite en anglais sur Zenit et résumé en français ici: www.zenit.org/fr/articles/les-nombreux-fruits-de-la-renonciation-de-benoit-xvi
En dehors du passage cité par Matteo Matzuzzi, et du bref récit de sa rencontre avec Joseph Ratzinger qui lui demandait de remplacer un collaborateur allemand de la CDF appelé à d'autres tâches, il n'y a pas vraiment de choses nouvelles par rapport aux autres inteviewes accordées ces dernières semaines par Mgr Gänswein (emploi du temps du pape émérite, les circonstances de la renonciation, relations entre les deux papes, etc..).
Sauf ce détail qui aide encore un peu plus comment le Pape émérite vit son "retrait": chaque dimanche, il prononce l'homélie à la chappelle de Mater Ecclesiae, pour la famille pontificale. Il la prononce sans note, mais il l'a préparée la veille par écrit.
