Benoit-et-moi 2017
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Le parti de la haine



ou un bel exemple d'accusation inversée (1/5/2017)

Vincent Cassel dans le bien nommé film "La haine" de Matthieu Kassovitz (l'auteur d'un des tweets injurieux)

Une périphrase habituelle pour définir le FN est "le parti de la haine". Dans un certain milieu, c'est une évidence (il suffit de taper dans le moteur de recherche <parti de la haine> et de parcourir les images, il n'est même pas nécessaire de lire!), et pour beaucoup de gens, il semble que cela fonctionne encore. Il sera d'ailleurs intéressant de voir dimanche jusqu'à quel point - ceci dit, bien entendu, indépendamment de tout sentiment d'affinité qu'on peut avoir avec ce parti.
Pourtant, l'accusation irait comme un gant à ceux qui la profèrent (*).
La décence m'interdirait de reproduire ici les insultes que certains "bien-pensants" élus par les médias déversent sur Nicolas Dupont-Aignan pour avoir osé annoncer publiquement qu'il apportait son soutien au "parti de la haine". Les lecteurs intéressés trouveront un échantillon ici: www.bvoltaire.fr.
Des mots d'amour, à l'évidence... Auxquels Nicolas Dupont-Aignan a répondu comme il se doit:

(*) Les mêmes n'en sont pas à une contradiction près. J'entends à l'instant sur une station de radio qui mouline la même désinformation à longueur de journée que le FN est un "parti anti-femme". Là encore, l'accusation est risible, et s'auto-détruit par son absurdité, puisqu'il ne peut avoir échappé à personne que dans une société où le politiquement correct considère la "parité" comme un dogme, les femmes étaient pratiquement absentes lors des primaires des partis dits républicains, sinon une ou deux potiches, et le candidat du FN, présent au second tour est ... UNE candidatE, justement! Pardon d'avoir à énoncer de tels lieux communs, mais trop, c'est trop: l'hystérie médiatique actuelle dépasse décidément toute mesure, et les gens qui ont un minimum de jugeote en ont assez (pour rester poli!!) d'être pris pour des idiots disposés à suivre le dernier saltimbanque venu pontifiant sur les "réseaux sociaux" du bas de son ignorance abyssale et d'une vulgarité censée lui autoriser tous les excès.