1996: faits troublants à Buenos Aires
Il s'agit de deux miracles eucharistiques, advenus lorsque Mgr Bergoglio était évêque auxiliaire, dont on a beaucoup parlé l'an dernier (12/11/2014)
Dans le long article de Maurizio Blondet consacré au théologien Rahner (traduit par Anna ici: benoit-et-moi.fr/2014-II-1/actualites/rahner-1er-pape), l'auteur, comme preuve de la vacuité de la théologie de Rahner, parlait d'un miracle eucharistique à Buenos Aires, qui s'était déroulé en 1996, alors que Mgr Bergoglio en était évêque auxiliaire.
Et il concluait:
(...) Afin de comprendre Bergoglio, le fait eucharistique de Buenos Aires est dirimant. L'hostie a saigné dans sa ville, alors qu'il en était l'évêque. C'est un message clair pour lui, pour le futur Pape. Comment l'a-t-il vécu? Comment l'a-t-il accepté? A-t-il compris l'avertissement? Est-ce lui qui a mis une sourdine à l'événement? (*), Ou bien est-ce la communauté paroissiale de l'Avenida la Plata? Souvent me semble-t-il, les miracles eucharistiques ont été une réponse à l'incrédulité de prêtres en la Présence Réelle. Est-ce ici le cas, ou pas?
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(*): Il semble que ce ne soit pas le cas, et que Maurizio Blondet ait été mal informé, voir ci-dessous.
Si l'on fait une recherche sur internet, on trouve de nombreux articles sur l'argument, principalement en anglais, et surtout parus après l'élection de Jorge Mario Bergoglio au Siège de Pierre.
Il y a même un livre en français: www.librairiesaintjoseph.com/node/71960
Et Wikipedia rappelle qu'il y a eu 2 miracles eucharistiques à Buenos Aires, à trois jours d'intervalle.
Voici le second:
(...)
Un autre miracle eucharistique fut rapporté à Buenos Aires le 18 août 1996.
Une femme informa le père Pezet qui finissait de célébrer la Messe dans le centre commercial de la ville pour signaler une hostie mise au rebut à l'arrière de l'église. Le prêtre refusant de manger l'hostie souillée la mit dans un récipient rempli d'eau puis au tabernacle. Cinq jours après, le 26 août 1996, quand le prêtre ouvrit le tabernacle, il constata que l'hostie ne s'était pas dissoute, avait grossi et était devenue une substance sanglante. Les photos ont été prises le 6 septembre 1996, sur l'ordre de Mgr Bergoglio, futur Pape François, qui était à l'époque évêque auxiliaire de Buenos Aires. Le 28 février 1998, Mgr Bergoglio devint archevêque de Buenos Aires et le 5 octobre 1999, il demanda au Docteur Castanon (*), médecin titulaire de nombreux diplômes, de venir à Buenos Aires pour analyser les deux hosties sanglantes présentes dans sa ville. Celui-ci établit, sur le rapport de plusieurs laboratoires, qu'il s'agissait de fragments de myocarde de groupe sanguin AB, vivant, palpitant et présentant des signes de souffrance intense, car les tissus sont fragmentés et les globules blancs ont pénétré des tissus qu'ils ne pénètrent qu'en cas de torture. Des analyses furent également réalisée par les Professeurs Odoardo Linoli, celui-là même qui avait étudié les reliques de Lanciano, et Frederick Zugibe de la Columbia University de New York confirmant qu'il s'agissait que le sang contenait de l'ADN humain, confirmé que le groupe sanguin était AB, et qu'il s'agissait de celui d'un homme qui avait beaucoup souffert toujours vivant, les globules blancs étant encore présents 9 ans après.
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(*) Voir son témoignage vidéo sous-titré en anglais: http://youtu.be/Av6teFZNycM
Un article publié par le Salon Beige le 18 juin 2013 relate en détail le prodigieux évènement.
C'est la traduction partielle en français d'un article en anglais qui commence par ces mots:
Miracle eucharistique à Buenos Aires
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L'affaiblissement de la foi en la présence réelle du Christ ressuscité dans l'Eucharistie est l'un des aspects les plus significatifs de la crise spirituelle actuelle. Jésus veut renforcer notre foi en sa présence eucharistique. Voilà pourquoi, de temps en temps dans l'histoire de l'Église catholique, il nous donne des signes - des miracles Eucharistiques qui soulignent clairement le fait que Lui, le Ressuscité Lui-même dans le mystère de sa divinité et de son humanité glorifiée, est réellement présent dans l'Eucharistie. Le miracle eucharistique le plus récent reconnu par les autorités de l'Eglise a eu lieu en 1996 dans la capitale de l'Argentine, Buenos Aires.
Ne profanez pas l'Eucharistie!
J'ai tendance à y voir un signe et même un avertissement pour l'archevêque puis pour le Pape.
En effet, l'hostie concernée avait été maltraitée, sinon profanée, et elle est devenue un signe puissant.
Avertissement pour le synode et le Pape: ne profanez pas l'Eucharistie!
Le sang est du groupe AB comme celui du Linceul de Turin.
(Monique T)
