Portrait inédit d'un pasteur (II)

Réaction de Monique T. Je m'y reconnais entièrement... (7/1/2013)

Cf. Portrait inédit d'un pasteur

Image ci-contre: messe de l'Epiphanie, 6 janvier 2013

     

Votre rappel des commentaires des médias lors de l'élection de Benoît XVI les couvre de ridicule. Tout est faux!
La première fois que j'ai entendu le nom du Cardinal Ratzinger, c'était en 1999, lors d'un JT (eh oui!!!) qui évoquait la déclaration conjointe entre catholiques et luthériens d'Augsburg et dont il avait été l'artisan de premier plan (mais je n'avais vu aucune photo de lui).
Puis plus rien jusqu'aux jours précédents le conclave. Je ne peux pas dire avoir adhéré à sa personne dès le jour de son apparition au balcon, que j'ai vue en direct à la télévision le 19 avril 2005. Poussée par la curiosité et stimulée par tout le mal que l'on disait de lui, j'ai commencé à écouter tout ce qu'il disait, à regarder ce qu'il faisait et à lire ses oeuvres et là j'ai été subjuguée, dès le mois de mai 2005, par son envergure intellectuelle, sa profonde spiritualité, son immense culture, son respect des autres, sa finesse, sa sensibilité.
Un homme à la fois impressionnant et attendrissant avec son âme d'enfant et de musicien.
Une mystérieuse affinité me relie à lui. Vous dites:"J'ai pu le percevoir immédiatement".
Il est comme l'ami (j'ose ce mot bien qu'il ne puisse y avoir de relation d'égalité entre un Pape et un fidèle totalement inconnu de lui!) que j'ai toujours cherché et qui me guide et m'encourage. Je vous remercie, d'ailleurs, pour ce site qui me permet de rester en contact avec l'actualité le concernant.

P.S: Merci pour l'argumentaire plein de finesse du Cardinal George (The Cardinal’s Column).