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Il y a six ans, en Afrique...

au Cameroun et en Angola: le voyage de Benoît XVI était entèrement occulté par la misérable polémique sur le préservatif

Il y a six ans, du 17 au 23 mars 2009, Benoît XVI se rendait en Afrique, au Cameroun et en Angola.
Ce voyage long et exigeant, et qui sur place s'était avéré triomphal, était entièrement occulté chez nous par une misérable polémique qu'on pouvait croire au début franco-française, car c'est un journaliste français qui avait posé au pape, dans l'avion vers Yaoundé, LA question fatidique sur la capote (on était en plein sidaction), mais qui en l'espace de quelques jours s'était transformée en une explosion hystérique de haine, un lynchage médiatique à l'échelle planétaire (une planète dont il conviendrait là aussi d'exclure l'Afrique , honneur au "continent de l'espérance"!).

>>> Pages spéciales ici: benoit-et-moi.fr/2009-I
J'en extrais, comme souvent, le commentaire du Père Scalese, qui reste totalement d'actualité, mais pour d'autres raisons....

L'amie (virtuelle!) qui gère la page facebook "Benedict XVI" vient de mettre en ligne une série de photos de toute beauté, retraçant le voyage: elles sont visibles en grand format ICI. On est stupéfait par la sérénité du Saint-Père, sa bonne humeur, sa cordialité non feinte (et pas destinée aux caméras!), qui tranchent incroyablement avec l'agitation frénétique, quasi-démoniaque (je pèse mes mots!!) qui s'était emparé de l'occident "civilisé"; extraordinaire confirmation in situ de l'adage populaire: "la bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe".

En conclusion...

Au terme du voyage, une amie, qui se reconnaîtra si elle me lit, m'écrivait ce parfait résumé du voyage, de notre point de vue:

(..) Nous avons vécus [les évènements] avec la même intensité … douloureusement quand nous étions face au « travail » des media mais joyeusement lorsque nous nous laissions envahir par la joie communicative des africains si accueillants pour notre Saint-Père .

Et pour continuer sur le thème de la tempête … quand les déferlantes de la haine, de l’ignorance et du cynisme viennent se briser sur les rochers de l’espérance, de la vérité et de la compassion, l’horizon se dégage et c’est un jour nouveau qui se lève pour l’Afrique qui se sent reconnue dans son désir de transformation et de progrès .

Notre Saint-Père est venu confirmer ses frères dans la foi et rendre l’espoir à un continent trop longtemps ignoré, négligé et encore convoité … Sa présence aimante et réconfortante a largement contribué à la réussite de ce voyage qui marquera dans la mémoire des africains qui ne se sont pas laissé troubler par les jugements scandaleux de gens « très en vue » et les écrits mensongers des spécialistes de la désinformation et s’il faut établir un classement des media occidentaux, notre « douce » France est en très « bonne place » sur la liste : un tel degré de cynisme et de virulence a rarement été atteint . Pauvre France !!!

Revenons plutôt vers notre Saint-Père qui, fidèle à lui-même et à sa mission, s’est montré tour à tour chaleureux, visiblement heureux mais aussi exigeant, lucide et conscient des défis que les populations africaines auront à affronter au cours des prochaines décennies . Autant de moments précieux qui sont venus contrer notre « ensauvagement », l’expression malheureuse et cruelle de propos mensongers, outranciers et profondément blessants visant notre Saint-Père .

Nous pourrions méditer cette pensée de Thérèse Delpech : « … notre sauvage indifférence aux êtres humains, voilà la plus importante régression du XXIème siècle . »

Avant de conclure, une dernière petite chose… Ne passons pas à côté de beaux textes : discours, homélies (*), autant de textes à méditer, de beaux messages qui viennent combler un « grand vide spirituel », des messages qui touchent notre cœur et notre raison, et qui, contrairement à d’autres, ne nous conduiront pas sur une mauvaise piste et ne nous laisseront jamais ou déçus ou blessés mais éclairés et encouragés dans la difficile recherche de la Vérité.

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