Manifestants payés contre Trump


Comment Soros finance la protestation anti Trump. Tout simplement en recrutant des activistes par le biais des journaux de petites annonces (13/11/2016)



Selon les médias aux ordres, les manifestations anti Trump se multiplient d'un bout à l'autre des Etats-Unis.
Elles ne peuvent pas ne pas évoquer la violente hostilité de la presse quasi-unanime dès le 19 avril 2005 (il suffisait pour que cela fonctionne que quelques titres leaders s'impliquent, les autres ont suivi par simple comportement grégaire), lorsque Benoît XVI a été élu Pape, puis les manifestations, menaces, intimidations qui ont marqué chacun de ses voyages à l'étranger, sans parler des affaires de pédophilie opportunément ressorties sous son pontificat, alors que la plupart remontaient à des décennies et surtout, qu'il avait tout fait déjà en tant que préfet de la CDF pour endiguer le fléau!

Quand on parle de la main de Soros derrière les multiples opérations de déstabilisation ciblant ceux (hommes ou pays) qui n'ont pas été adoubés/choisis par le Système, et refusent de s'aligner, les anti-complotistes haussent les épaules avec mépris. Et pour les autres, ça ressemble trop à un scenario de film pour être vrai. D'ailleurs, comment un seul homme pourrait-il être simultanément sur tous les théâtres? Matériellement, c'est impossible.
Et pourtant, la récente publication dans les wikileaks (cf. Vers un Printemps catholique?) de courriels émanant de la messagerie de John Podestà, le directeur de campagne d'Hillary Clinton, évoquant le financement de mouvements catholiques progressistes en vue de susciter un "printemps catholique", et précédemment, d'appuyer l'agenda progressiste du pape ou de son entourage lors de sa visite aux Etats-Unis, prouve que ce n'est pas de la fiction.

J'ai trouvé cet article via l'excellent site Riscossa Cristiana.
Il explique de façon très simple comment s'y prend en réalité l'hydre Soros.
En fait, c'est simple comme.... des petites annonces.
Il fallait y penser!

Manifestants payés contre Trump


12 novembre 2016
Roberto Vivaldelli
www.occhidellaguerra.it
Ma traduction

* * *

Aux États-Unis tout le monde n'a pas digéré d'un coeur léger la victoire du candidat républicain Donald Trump, élu grâce à une nette victoire sur sa rivale démocrate Hillary Clinton, 45e président de l'histoire du pays contre tout pronostic et toute prévision. Des milliers de personnes sont descendues dans les rues dans de nombreuses grandes villes pour protester contre la victoire du «tycoon» au cri de «ce n'est pas mon président», de New York à Washington DC, en passant par Seattle et Oakland.
Des manifestations pas toujours pacifiques, où l'on a enregistré au moins une centaine d'arrestations parmi les manifestants. A New York, la police a arrêté une trentaine de personnes qui manifestaient devant la Trump Tower. La même chose est arrivée à Los Angeles, Chicago, et dans tout le reste du pays.

Qu'une partie de ces manifestations soit spontanée, personne ne veut le remettre en question. Mais si nous analysons à fond ces mouvements de protestation contre le néo-président il y a aussi autre chose, qui mérite d'être raconté: c'est-à-dire qu'une autre "tranche" de ces manifestations est de facto fomentée et financée à dessein par plusieurs associations très puissantes et influentes qui font partie des cercles «radicaux» et progressistes américains. Des organisations qui ont de leur côté une énorme quantité d'argent à offrir aux nouveaux adeptes et militants de dernière minute, et qui les rétribue grassemnt pour les faire descendre dans la rue afin d'exprimer publiquement leur désaccord contre Donald.
Comment? C'est vraiment très simple. Faisant une banale recherche sur Craigslist, un site de petites annonces très populaire aux Etats-Unis [qui héberge des annonces de recherche d'emploi, vente et location de logements, évènements personnels, etc.], on peut facilement trouver des annonces curieuses comme celle-là (seattle.craigslist.org): nous sommes à Seattle, dans l' État de Washington, une des villes qui ont été le théâtre de manifestations anti-Trump. L'annonce a été publiée au même moment - comme par hasard - où ces manifestations ont eu lieu.

«Combattons l'Agenda Trump!

Nous embauchons des militants à temps plein. "Washington Can!" est la plus ancienne et la plus enracinée association politique à but non lucratif de notre état. Depuis plus de 35 ans, nous nous battons aux niveaux local et national sur des questions telles que les questions raciales, le social, la santé, les droits des immigrants, l'équité fiscale. Nous recherchons des personnes motivées, que ce soit à temps partiel ou à temps plein. Nous offrons des postes permanents. Nous offrons l'assistance médicale, les congés payés, les journée de congés de maladie rétribués. Le salaire moyen est entre 15 $ et 20 $ l'heure»


L'annonce suspecte a été publié par Washington CAN! - Acronyme pour Washington Community Action Network - association proche de la gauche «radical» avec plus de 40 mille inscrits et dont la mission est de «parvenir à l'égalité économique, sociale et raciale afin d'établir une société démocratique caractérisée par la justice et l'équité, et le respect de la diversité et une qualité de vie décente pour tous ceux qui résident dans l'État de Washington».
Washington CAN! fait partie d'un réseau d'associations infiltrées sur tout le territoire des États-Unis et affiliés sous le nom de USAction, une fédération composée de 501 organisations et groupes de matrice progressiste fondée en 1999 et dirigée aujourd'hui par l'activiste afro-américain William McNary. La vice-présidente est Heather Booth, figure historique du féminisme américain.

USAction est né des cendres de Citizen Action - dirigée pendant des années par Heather Booth - qui comptait des militants et des associations affiliées dans 34 États: avec l'avènement de l'administration Clinton (1993), d'entité non-partisane et indépendante, elle se transforma en soutien public du Parti démocrate puis du président Bill Clinton. L'organisation a été impliquée dans le scandale judiciaire Teamstersgate, en raison d'un financement illégal accordé à Ron Carey et à sa réélection à la tête du syndicat des Teamsters, qui représente aujourd'hui les travailleurs des secteurs public et privé. A cause de ces problèmes juridiques et d'innombrables problèmes financiers, en 1999 Heater Booth décida de laisser tomber Citizen Action et de fonder USAction.

Et qui finance le lobby USAction et ses combats visant à «renforcer les voix progressistes à l'échelle locale et nationale et à aider les candidats afin qu'ils soient élus»? De simples dons de citoyens? Pas seulement. Comme l'ont démontré les email déclassifiés par les hackers de DCleaks au cours des derniers mois, parmi les financiers les plus importants de l'organisation, il y a LUI décrit par les pirates comme «l'architecte de chaque révolution et coup d'Etat des 25 denières années», le magnat et spéculateur financier George Soros, ennemi juré de Donald Trump (et de Vladimir Poutine), fervent partisan d'Hillary Clinton et important sponsor de sa dernière campagne électorale. Comme en témoigne un document déclassifié, le président de Soros Fund Management et de l'Open Society Foundations, aurait en effet versé entre 2010 et 2011 à USAction - réseau dont fait partie Washington CAN! - 300 000 $ sous la rubrique “USAction Education Fund” en faveur de la «plus grande et la plus importante organisation progressiste aux États-Unis».

Il est donc très probable que l'argent provenant des dons généreux du magnat a été utilisé pour payer ces mêmes activistes que nous avons vu dans la rue déverser toute leur haine et leur mépris pour le néo-président américain. Un lien pour le moins inquiétant, qui en dit long pour mesurer combien Donald J. Trump est dérangeant et contesté par les pouvoirs de la finance internationale et de l'élite progressiste, lesquels ont évidemment suscité et attisé le feu des protestation, débouchant ensuite sur la violence et l'insulte, contre un président démocratiquement élu par unemajorité des Américains.

Cela semble l'intrigue d'un film, mais parfois, on le sait, la réalité dépasse la fiction.

Documents: captures d'écran


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