A propos de l'interviewe de Mgr Müller

Commentaire de Monique T. : " La situation des catholiques est extrêmement préoccupante en ce moment. Toute l'Europe est touchée par un déferlement de culture de mort contre lequel les gouvernements veulent les essouffler. " (6/2/2013)

cf. L'interviewe de Mgr Müller dans "Die Welt"

>>> Image ci-contre: Un chrétien dans l'arène d'un amphithéatre, mosaïque, musée des antiquités de Tripoli histoirencours.fr/

Merci pour cette interview de Mgr Müller, qui a l'habitude de parler assez franchement, sans souci d'être médiatique à tout prix.
Le simple fait que l'emploi du mot "pogrom" provoque un "tollé" démontre précisément ce qu'il dit et que l'on conteste: les persécutions qui s'abattent sur les hommes d'Eglise (et aussi sur de simples laïcs) s'accélèrent et finiront par se traduire par des condamnations pénales ou plus.
La persécution contre les juifs a bien commencé par toutes sortes de vexations pour finir comme on sait et Mgr Mûller sait bien ce qu'il dit.
Comme toujours, on peut vérifier que le Pape ou les évêques ne peuvent évoquer la triade JUIFS-ISLAM-SEXE sans provoquer une explosion! C'est le réflexe de Pavlov de la presse, qui se sent bien seulette si elle ne rencontre pas ces ingrédients au contact de l'Eglise catholique.
La situation des catholiques est extrêmement préoccupante en ce moment.
Toute l'Europe est touchée par un déferlement de culture de mort contre lequel les gouvernements veulent les essouffler. C'est net en France où, chaque jour, une nouvelle loi immorale se profile, de façon à CASSER la résistance des chrétiens. Résister sur tous les fronts devient impossible et on devra laisser passer plusieurs lois scandaleuses.
D'ailleurs que pouvons-nous faire contre un parlement soviétique? Il y a longtemps que Benoit XVI voit venir la dictature de la théorie du gender qui (en l'absence de grande théorie économique capable d'améliorer l'état du monde) risque d'être le grand totalitarisme du XXIème siècle jusqu'à ce que l'Islam nous en "délivre" à sa manière..
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Pardonnez mon pessimisme!