A propos de l'émission "Le monde secret du Vatican
Un lecteur L.S. m'écrit. Et "retoque" les énormités sur Galilée, pourtant relevées par aucun des deux "débatteurs". (24/6/2011)
->Voir ici: Vu à la télé: le monde secret du Vatican
-----------
J'ai ressenti le même malaise que vous en regardant l'émission "Le monde secret du Vatican". Tout était fait, sans en avoir l'air, pour rendre le Vatican antipathique et assez ridicule, sauf la belle prise de vue du Pape priant.
On aurait pu choisir un enfant de choeur bon élève et satisfait de son sort, mais il fallait bien montrer que le Vatican embrigade des enfants et les soumet à un entraînement inhumain. Bien sûr le Pape actuel, pour passer pour un homme bon, devrait absolument copier tous les faits et gestes de Jean-Paul II.
Moi je comprends très bien qu'il ait besoin d'un peu de solitude et de silence dans sa journée après toutes les audiences et échanges auxquels il est astreint.
Une énormité, non corrigée par les 2 journalistes de la fin, a été proférée sur Galilée. Il n'a pas fini sa vie en prison comme on l'a dit, mais en résidence surveillée dans sa belle villa de Florence, où il pouvait recevoir ses amis. Il a même pu faire passer plusieurs de ses manuscrits à l'étranger! Cet homme n'a connu ni torture ni un seul jour de prison mais on continue à ressasser les mêmes inepties depuis le XVIII° siècle. Bernard Lecomte aurait pu corriger.
Il ne faut pas compter sur Isabelle de Gaulmyn pour le faire: plus on éreinte l'Eglise et Benoît XVI, plus elle est contente, alors même qu'elle représentait La Croix! Elle est continuellement dans la revendication et incapable d'admirer quoi que ce soit. C'est le genre de personne sèche, à cent lieues de pouvoir percevoir le charme, la subtilité et la pureté de coeur du Saint Père. Elle n'est pas non plus assez honnête pour reconnaître l'action énergique du Pape dans bien des domaines. Les articles de cette dame m'ont presque toujours indisposé et je suis persuadé qu'elle fait beaucoup de mal, via La Croix (Lue par tous les ecclésiastiques de France et beaucoup de catholiques non pratiquants) en entretenant le ressentiment et des revendications de style politique dans l'Eglise.