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Le calvaire d'un juge espagnol (suite)

Nous avions parlé dans ces pages du harcèlement dont avait été victime le juge Ferrin, simplement pour avoir fait son devoir. Les deux lesbiennes à l'origine de la procédure contre lui divorcent. Info de Carlota (18/4/2013)

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Cf. benoit-et-moi.fr/2013-I/articles/moi-victime-de-la-christianophobie

     

En février dernier, Carlota évoquait "le calvaire d'un juge espagnol" catholique dans le contexte d'une demande d'adoption par une femme de la fille, née par insémination artificielle, de la conjointe avec qui elle avait contracté un "mariage" sous l'ère Zapatero.

Eh bien, les deux lesbiennes à l'origine de l'action "divorcent"!

Un contre-exemple à méditer particulièrement ces jours-ci en France, alors que les medias et la classe politique - y compris ceux qui ont perdu les dernières élections - font le forcing pour discréditer la résistance au "mariage pour tous", soit en la faisant croire radicale et violente, soit encore en déviant son élan vers un "contrat civil" et en "socialisant" certaines pratiques sexuelles qui ne concernent, tout au plus, que l’intimité des alcôves. .
Occasion de dire un grand bravo à ceux qui sont si souvent en ce moment dans la rue pour défendre notre Humanité, et notamment le courageux Mgr Aillet, présent sur le terrain (voir lesalonbeige.blogs.com)

Article en entier ici: www.hispanidad.com
Extrait (traduction Carlota)

Juge Ferrín. Les lesbiennes qui ont porté plainte contre lui, divorcent.
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Les deux lesbiennes qui ont porté plainte contre le Juge Fernando Ferrín, l’affaire utilisée par le « lobby gay », par le PSOE (Parti Socialiste Ouvrier Espagnol) et par le PP (Parti Populaire, notre UMP), pour massacrer le sus-nommé, ont divorcé. Par consentement mutuel, naturellement. Et la petite fille Candela reste sous la garde de sa mère biologique. Cette petite fille a déjà survécu à un divorce hétéro et maintenant à un divorce homo. Elle a été élevée par un homme et une femme, puis par deux femmes, puis par sa mère, seule. C’est évident : il faut prier pour cette enfant.

La morale de l’histoire : un juge qui ose - c'est à l’évidence dangereux, très dangereux - vouloir que les experts lui disent si une enfant, presque encore un bébé est mieux avec un père et une mère, qu’avec deux mères, pour avoir seulement oser le demander, est massacré par les experts du PP, - non du PSOE, - et par les juges du PP, plus ceux du PSOE. Et il en résulte aujourd'hui que ce pour quoi ces experts avaient lutté, les deux lesbiennes ne s’en servent pas, puisqu’elles divorcent.
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Eulogio López (directeur de www.hispanidad.com)