Ce qui me manque
Réagissant à l'article d'Antonio Socci que j'ai traduit hier, une amie, Régine M. m'écrit... (27/12/2014)
>>> Auto-critique
Antonio Socci concluait son article par ces mots:
Que puis-je dire d'autre?
J'éviterai de faire des commentaires.
Simplement, je vous avouerais que l'humilité, la douceur et la sagesse de Benoît XVI me manquent infiniment, comme me manquent le charisme et la grandeur d'âme de Jean-Paul II.
Régine ajoute:
Nous manquent la grandeur de Benoît et son humilité, sa douceur, sa bonté, sa façon de prendre en charge les faiblesses et les erreurs d'autrui.
Nous manquent l'intelligence, le courage et la force de Jean-Paul II.
Nous manque la beauté du regard de Jean-Paul 1er.
Nous manquent la profondeur et la subtilité de Paul VI.
Nous manquent la finesse et la protectrice affection de Jean XXIII.
Nous manquent la distinction et l'efficacité de Pie XII.
Ils ont tous su chacun à sa manière nous aimer, prêtre et laïcs.
Nous n'avons pas besoin d'un juge d'instruction/d'un procureur.
Nous voulons seulement suivre le Christ, pas Marx.
