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Quand Benoît XVI rompt son silence...

Un article qui récapitule toutes les interventions publiques du Pape émérite, en particulier toutes celles d'octobre dernier (5/11/2014)

Difficile d'affirmer, comme le fait l'auteur de cet article que Benoît XVI rompt son silence pour "corriger" son successeur. La discrétion, la délicatesse du Pape émérite cadrent mal avec une quelconque immiscion de sa part dans le gouvernement de L'Eglise. A moins que l'intérêt supérieur de l'Eglise, justement, ne lui impose de sortir de sa réserve pour donner des conseils à son successeur... et envoyer des messages d'encouragement au peuple catholique.
L'article a au moins le grand mérite de regrouper sur une même page toutes les interventions publiques de Benoît XVI depuis sa renonciation du 11 février 2013, à commencer pas sa lettre au mathématicien Oddifreddi.
Pour ceux qui veulent approfondir, ou simplement vérifier, j'ai indiqué en notes de bas de page les références aux articles correspondants de mon site.

L'article du site <The eponymous Flower> m'a été signalé par un lecteur.
J'ai retrouvé l'original en allemand ici: www.katholisches.info
La version en anglais est probablement le résultat d'un traducteur automatique, et malheureusement bourrée de fautes (en plus d'une ponctuation assez surréaliste), qui la rendent souvent incompréhensible. J'avais heureusement en main les documents auxquels le texte se réfère. Je pense donc que la traduction que j'ai faite est fidèle au sens du texte, j'ai remplacé les passages incompréhensibles par (...)

     

QUAND BENOÎT XVI ROMPT SON SILENCE ET CORRIGE SON SUCCESSEUR
Ma traduction, d'après
eponymousflower.blogspot.fr
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Depuis la fin de Février 2013, Benoît XVI qui est dans la situation sans précédent d'un pape émérite, a ces derniers temps de plus en plus souvent repris la plume pour envoyer des messages publics. Ces messages apparaissent comme des corrections aux erreurs, sans en mentionner le responsable par son nom. Les corrections concernent le dialogue avec les athées, des critiques du cardinal Kasper et des éloges pour son adversaire le Cardinal Burke, et expriment publiquement la joie pour le rite traditionnel sur lequel François a gardé le silence jusqu'à présent, dans une critique claire de son successeur. Benoît XVI a envoyé quatre messages dans le seul mois d'Octobre. Un bref résumé.

L'«œcuménisme de retour» avec les anglicans
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L'exemple le plus récent est un message de voeux pour le cinquième anniversaire de la Constitution apostolique Anglicanorum Coetibus (1), avec la mise en place d'ordinariats personnels pour les ex-anglicans rentrés dans la pleine unité de l'Eglise catholique. Le message de Benoît XVI est parvenu à l'Ordinaire du plus ancien de ces ordinariats personnels, celui pour l'Angleterre et le Pays de Galles, Notre-Dame de Walsingham.
En comptant celui-là, le pape émérite a envoyé quatre messages dans le seul mois d'Octobre.

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Ces derniers temps, Benoît XVI a rompu son silence plus fréquemment .
Par exemple, pour dire que dans l'Église, chaque renoncement à la vérité est «mortel» pour la foi chrétienne.
Des mots clairs, forts, selon un riche angle dialectique convenant à ces temps où l'on se contente de belles paroles et qui permettent tout. (...) ["Vor allem sagt der emeritierte Papst damit, daß sich damit das von seinem Nachfolger Papst Franziskus verkündete Programm Evangelii Gaudium, nämlich die Freude des Evangeliums nicht vermitteln läßt."]

Éloge de François à Benoît: «Discret» - Mais son prédécesseur n'est pas si silencieux
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«Il est discret, modeste, il ne veut pas interférer», a récemment dit François de son prédécesseur, Benoît XVI.
L'occasion était la bénédiction d'un buste, dédié au pape allemand (0).
«Je peux lui parler, c'est comme si j'avais un grand-père sage à la maison. Cela me fait du bien de l'entendre. Et il m'encourage beaucoup» a dit le Pape régnant avec une comparaison peut-être pas totalement pertinente, en particulier parce que François aura 78 ans dans quelques semaines et donc appartient à la même génération que son «grand-père» Benoît XVI ..

De temps en temps, à ce qu'on sait, Benoît XVI, qui est dans le rôle d'un «moine cloîtré», comme il dit lui-même, conseille, commente et contacte le pape régnant avec sa prore vision des choses. On sait peu de chose à ce sujet, tout est fait avec la plus grande discrétion.
Mais on a su que Benoît XVI avait envoyé à son successeur argentin un commentaire de quatre pages sur l'interview controversée à la revue jésuite La Civiltà Cattolica parue le 19 Septembre 2013. (2)
Le contenu du commentaire n'est pas connu. Cependant, on peut imaginer le ton poli et respectueux de la critique dense. Les mots ne peuvent pas avoir souffert d'un manque de clarté. Entre les deux papes, les échanges sont soumis à une stricte confidentialité ["Was zwischen den beiden Päpsten, womit wir wieder bei einem Unding wären, ausgetauscht wird, unterliegt strikter Geheimhaltung"].


François - Benoît: des «dialogues» différents avec les athées
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Parfois, Benoît XVI rompt sa retraite monastique et se rend visible. Dans son message au Coetus Internationalis Summorum Pontificum à l'occasion du Troisième pèlerinage international à Rome de la Tradition (3), il explique qu'il ne le fait qu'à la demande et à l'invitation du pape régnant.
L'exemple le plus récent a été sa participation le 19 Octobre à la béatification du pape Paul VI. On n'a rien su de l'émotion qu'a pu éprouver Benoît.

Il rompt le silence, de temps en temps sous forme écrite, il a son mot à dire et il le fait avec la clarté de langage et de pensée qui lui est habituelle. Cela ne se réduit jamais à de simples mots de politesse ou à des collections de mots vides de sens, comme semblent l'être les messages écrits par certains dignitaires ecclésiastiques.
La première de ces déclarations publiques écrites de Benoît remonte à l'automne dernier, en même temps que le «dialogue» de François avec l'athée Eugenio Scalfari; Benoît XVI a répondu à un autre athée, Piergiorgio Odifreddi (4).
Alors que l'interview de François à Scalfari était sujette à controverse dans la forme et le contenu, et puisqu'il s'est avéré plus tard que Scalfari avait formulé les réponses avec l'approbation du pape, Benoît répondait à l'athéisme de manière significative. Scalfari pouvait convenir victorieusement à la fin de l'interview que l'Église avait soi-disant renoncé à sa mission de convertir les autres au Christ, et élevait la conscience subjective au plus haut niveau, alors que Benoît XVI montrait à son «interlocuteur» Odifreddi que «la religion mathématique reste vide» et défendait l'Eglise catholique et le sacerdoce contre le «sport» des irréligieux, qui essaient en général de placer l'état clérical sous l'ombre de la pédophilie et de l'homosexualité.


Note pour surmonter la crise dans le magistère ignoré de Eglise
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Benoît XVI a également rompu son silence en mars dernier, dans le cadre d'un livre sur Jean-Paul II (5). L'ex-préfet de la CDF a particulièrement souligné l'encyclique «Veritatis Splendor» de 1993, sur les questions morales, et la déclaration «Dominus Iesus» de 2000 «sur l'unicité et l'universalité salvifique de Jésus-Christ et de l'Église» (6) et il a recommandé non seulement leur étude approfondie, mais d'en apprendre le contenu.
Benoît XVI a donc cité des documents clés du Magistère pontifical récent, désignant les deux documents les plus méconnus et ignorés au sein de l'Église. La note de Benoît désigne ainsi un baromètre de l'état de l'Église et offre des instruments, qui peuvent fournir le remède.
Donc, Benoît ne se limite pas à la prière et au sacrifice. Il ne répond pas seulement aux athées, il donne aussi des conseils à l'Église.

En Octobre, quatre messages ont suivi, trois messages courts mais denses et un message plus long.


Message pour renforcer la Tradition: le rite traditionnel n'est pas une «mode»
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Le premier message porte la date du 10 Octobre et a été envoyé au Coetus Internationalis Summorum Pontificum (3), qui depuis 2012 organise le pèlerinage de la Tradition à Rome, dans le but de montrer la solidarité des catholiques traditionnels avec le pape et de célébrer le rite traditionnel dans la basilique Saint-Pierre, l'église la plus visible de la chrétienté, sur la tombe du Prince des Apôtres, Pierre et les tombeaux des papes.
Des Cardinaux de haut rang ont participé.
Cette année a vu participer le cardinal Raymond Burke, devenu, au cours du Synode des évêques sur la famille, le porte-parole de la défense du sacrement de mariage et de l'enseignement catholique sur le mariage. En plus du cardinal Burke, était prévue la présence des cardinaux George Pell (qui était malade) et Walter Brandmüllers, qui sont aussi parmi les cardinaux qui se sont opposés publiquement à la «nouvelle miséricorde» du cardinal Walter Kasper évidemment soutenu par François.

Le pape Benoît XVI a souligné dans son message l'importance du rite traditionnel. Un geste significatif donc, d'autant plus que François n'a encore rien exprimé de contradictoire, publiquement ou officieusement, mais a toutefois envoyé majoritairement des signaux négatifs. Très différents de son prédécesseur: «Je suis très heureux que l'usus antiquus vive maintenant en pleine paix dans l'Eglise, même chez les jeunes, avec le soutien et la célébration de grands cardinaux». Une seule phrase avec un message énorme. Les observateurs de Benoît XVI ont spécialement remarqué le choix des mots. Le pape émérite n'a plus utilisé la définition de son Motu Proprio Summorum Pontificum, où l'ancien rite est appelé la «forme extraordinaire» du rite romain, mais il parle de «usus antiquus». Il a donc utilisé cette définition, non pas tant parce qu'elle représente la tradition et met en valeur le rite traditionnel libéralisé par le Motu proprio, mais plutôt, il le porte à sa position légitime. Benoît XVI est un homme trop sage pour ne pas peser exactement l'importance des mots.

Cela inclut l'affirmation selon laquelle il est «heureux» que les jeunes découvrent le rite traditionnel. Une réponse claire à son successeur, sans le mentionner bien sûr, qui avait déclaré, lors de la visite ad limina des évêques tchèques en Février, ne pas réussir à comprendre comment les jeunes pouvaient aimer et apprécier l'ancien rite, et avait parlé dans ce contexte de simple «mode», donc une chose dont on ne devrait pas tellement se préoccuper (7).
Durant son séjour au Brésil pour les Journées Mondiales de la Jeunesse, le pape avait fait référence aux catholiques traditionnels comme à des idéologues pélagiens (8). Ce que le chef de l'Eglise voulait dire exactement, cela reste incertain. Les deux déclarations, prises ensemble, semblent indiquer une réserve «idéologique» contre le rite traditionnel de la part du pape.


Eloges pour le cardinal Burke et les opposants au cardinal Kasper
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Une autre déclaration importante peut être trouvée dans ce court message de Benoît, quand il se dit «heureux» que l'«usus antiquus» soit soutenu et célébré par de «grands cardinaux». Des mots qui peuvent être interprétés comme une prise de position sans équivoque contre le cardinal Kasper et les «arguments d'ouverture». Surtout, c'est une expression de la plus haute appréciation pour le cardinal Burke, l'un de ces leaders religieux auquel François non seulement nie tout rôle dans la Curie romaine, mais même la direction d'un diocèse.
Alors que François aimerait bien envoyer le cardinal américain sur la lune, et qu'il n'est pas trop inexact de dire qu'au moins il voudrait le bannir dans un monastère isolé sur une île éloignée, Benoît XVI l'honore comme un «grand» cardinal.


«Tout renoncement à la Vérité est mortel» pour la Mission, la foi et l'Eglise
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Le deuxième message a été envoyé par Benoît XVI à l'Université Pontificale Urbanienne à Rome, qui a donné son nom à son grand Amphi (9). La cérémonie d'inauguration a eu lieu le 21 Octobre, mais Benoît XVI n'a pas pu y prendre part. Il en a donné la raison dans le discours de salutation du 19 Octobre. A sa place, il a envoyé l'archevêque Georg Gänswein, son secrétaire personnel pour apporter son salut.
De façon surprenante, l'Université n'a pas publié le discours sur son site Internet. Pas plus que l'Osservatore Romano, qui s'est contenté d'une brève note de l'événement (10). Ainsi, il a été lu a huis clos, et le texte n'a finalement été rendu public que le 23 Octobre, avec l'approbation de Benoît et grâce au vaticaniste Armin Schwibach.
L'Université pontificale est l'Université par excellence de la mission de l'Église catholique, puisqu'elle dépend de la Congrégation romaine pour l'Evangélisation des Peuples, également connue comme «Propaganda Fidei» .

Là, Benoît XVI a formulé le message central, selon lequel tout renoncement à la vérité de la mission chrétienne est «mortel» pour la foi et l'Eglise. Le pape allemand a parlé du doute, qui menace le principe de la mission ad gentes aujourd'hui. Le pape émérite contredit la thèse commode, que l'on pourrait remplacer la mission par un «dialogue d'égal à égal» entre les religions et cette commodité d'abandonner la mission et la conversion, justifiée par «l'engagement commun pour la paix».
Avec une telle attitude, cependant, l'Église s'éloignerait de ce que les premiers chrétiens ont fait, c'est-à-dire annoncer l'Evangile de Jésus-Christ jusqu'aux extrémités de la terre. Benoît XVI est en désaccord notamment avec l'égalité des religions, qui ne seraient que des expressions différentes (..) d'une même réalité. «Cette renonciation à la vérité semble réaliste et utile à la paix entre les religions dans le monde. Et pourtant, elle est mortelle pour la foi. En effet, la foi perd son caractère contraignant et sa gravité, si tout se résume à des symboles au fond interchangeables, capables de renvoyer seulement de loin au mystère inaccessible du divin».


Une fois de plus, Dominus Iesus, et encore le cardinal Walter Kasper
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Dans cette opinion, résonne aussi tacitement la déclaration Dominus Iesus (6), qui avait provoqué de vives critiques à l'extérieur mais aussi à l'intérieur de l'Eglise en l'Année Sainte 2000, car elle faisait obstacle à une attitude de capitulation, comme l'a appelé le défunt Mario Palmaro, d'une certaine partie de l'Eglise qui l'avait perçue comme ennuyeuse et lourde (...). Cette forme d'apostasie dans l'Eglise n'est pas un phénomène nouveau, mais se produit aujourd'hui plus que jamais, sans avoir été abordée au sein de l'Eglise.
Parmi les critiques les plus féroces de Dominus Iesus, il y avait le Cardinal Edward Cassidy, alors président du Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des chrétiens, et son successeur à ce poste, le cardinal Walter Kasper, qui de façon incroyable referme aujourd'hui le cercle. Encore plus étonnant et inquiétant est le fait que sous François le cardinal Kasper est devenu le théologien du pape, invoqué par le pape régnant, qui a salué avec enthousiasme sa théologie comme une «théologie à genoux» le 21 Février dernier lors du consistoire (11).


Un clair ordre de mission contre le «renoncement à la Mission»
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Surtout, Benoît XVI a répondu dans un langage clair et concis aux conceptions confuses de François avec son «non au prosélytisme» et une mission sans conversion. Déclarations qu'il a faites, entre autres, dans la première interview douteuse à l'athée Scalfari (12). Comme mentionné précédemment, les réponses viennent de la plume de Scalfari, mais il les a envoyée au pape avant de les laisser imprimer, et il a reçu l'imprimatur de son secrétaire. Des réponses qui n'ont jamais été démenties par le Saint-Siège, et dont on ne peut guère douter de l'authenticité du contenu, en particulier parce que le pape les a répétées dans d'autres contextes.
En fin de compte, Benoît XVI fait sien le titre de l'Exhortation Apostolique de François Evangelii Gaudium quoique avec un contenu quelque peu modifié. Celui qui a reçu la «joie» de la foi, ne peut pas faire autrement, que la transmettre (...) Mais sans renoncement réel ni apparent à la vérité, qui pourrait être «mortel».


Benoît affirme les «valeurs non négociables» contre l'incompréhension de son successeur
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Le troisième message porte même la date du 4 Août, mais a été rendu publique le 23 Octobre. C'est une lettre envoyée par Benoît à la Fondation vaticane Joseph Ratzinger-Benoît XVI, à l'occasion d'une rencontre organisée à Medellin en Colombie, intitulée «Respect de la vie, un chemin pour la paix» (13).
Dans cette lettre, Benoît XVI soulignait le «respect inconditionnel de l'être créé à l'image de Dieu et donc doté d'une dignité absolue». Pour cette raison, déclarait Benoît XVI, «Le thème de la paix et le thème du respect de la vie humaine sont liées à la foi en Dieu créateur comme la vraie garantie de notre dignité».
Benoît XVI affirmait sans «si» et sans «mais», un engagement renouvelé pour les valeurs non négociables, que son successeur François n'a «jamais compris» selon ses propres termes et sur lesquelles il a gardé le silence pendant de longs mois de son pontificat (..) (14).


Ordinariat personnel: une tâche importante

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Le quatrième message, daté également du 10 Octobre mais publié seulement maintenant, a été écrit par Benoît XVI. en allemand (1). Le Siège de l'ordinariat personnel de Notre-Dame de Walsingham est la «chapelle de Bavière» à Londres, qui nous rappelle la représentation diplomatique de l'ancien Royaume de Bavière en Angleterre. Une connexion symbolique entre l'ordinariat et le pape bavarois.
Benoît XVI écrit que l'ordinariat «joue un rôle très important dans l'Église de Dieu toute entière».

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Notes de traduction (liens)

(0) benoit-et-moi.fr/2014-II-1/actualites/inauguration-du-buste-de-benoit-xvi.html
Ce qu'affirme l'auteur est inexact: dans son discours ce jour-là, François a salué le «grand Pape», et pas un «grand-père» (ce qui aurait été franchement déplacé). En fait, ces propos ont été tenus dans l'interview au Corriere della Sera, en mars dernier: benoit-et-moi.fr/2014-I/actualites/communication-directe.html.
Pour mémoire, le Pape a parlé de son prédécesseur comme d'un grand-père à plusieurs reprises, la première fois, c'était dans l'avion de retour du Brésil en juillet 2013 (benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/dans-lavion-du-pape.html)
Il l'a encore répété lors de la fête des grands parents le 28 septembre dernier (benoit-et-moi.fr/2014-II-1/benoit/rencontre-avec-les-personnes-agees.php ), faisant sourire Benoît XVI
(1) benoit-et-moi.fr/2014-II-1/benoit/une-lettre-de-benoit-xvi.php
(2) benoit-et-moi.fr/2014-I/actualites/collaboration-entre-les-deux-papes-.html
(3) benoit-et-moi.fr/2014-II-1/benoit/la-lettre-de-benoit-xvi.html
(4) benoit-et-moi.fr/2013-III/benoit/la-lettre-a-oddifreddi.html
(5) benoit-et-moi.fr/2014-I/actualites/le-pape-emerite-parle-de-jean-paul-ii.html
>> benoit-et-moi.fr/2014-I/benoit/benoit-xvi-parle-de-jean-paul-ii.html
(6) benoit-et-moi.fr/2013-II/benoit/le-cardinal-ratzinger-explique-dominus-jesus.html
>> benoit-et-moi.fr/2013-II/benoit/dominus-jesus.php
(7) benoit-et-moi.fr/2014-I/actualites/la-messe-traditionnelle-est-elle-une-mode-.html
(8) benoit-et-moi.fr/2013-II/articles/que-reste-t-il-des-jmj.html
(9) benoit-et-moi.fr/2014-II-1/benoit/la-lectio-de-benoit-xvi-a-lurbanienne.php
(10) Ce n'est pas vraiment exact: il y avait un article assez long, en dernière page, avec un extrait effectivement trop bref du discours, mais un long extrait du beau discours d'hommage du cardinal Filoni, Chancelier de l'Urbanienne: benoit-et-moi.fr/2014-II-1/benoit/la-premiere-lectio-publique-du-pape-emerite.html
(11) benoit-et-moi.fr/2014-I/actualites/les-cardinaux-sen-vont-en-guerre.html
(12) Le Pape aurait dit à Scalfari que «le prosélytisme est une ânerie solennelle». Voir par exemple www.repubblica.it/cultura/2013/10/01/news/le_pape_a_scalfari_ainsi_je_changerai_l_glise-67693549/
(13) benoit-et-moi.fr/2014-II-1/benoit/les-trois-messages-du-moine-cloitre.php
(14) benoit-et-moi.fr/2014-I/actualites/communication-directe.html