Les mots d'adieu de George Bush
(18/1/2009)
Merci au Salon Beige d'avoir transmis cette information.
Peu m'importe les ricanements - que je crois déjà entendre - de ceux qui tiennent Georg Bush pour un criminel de guerre.
Au moins, cette fois, ils peuvent difficilement l'accuser d'opportunisme politique
J'ai déjà dit - et il l'a dit lui-même dans son discours d'adieu: l'histoire jugera (peut-être mal, je l'ignore, mais les autres aussi); laissons lui le temps.
Avant qu'une nouvelle vague d'obamania planétaire ne déferle sur nous, il est bon de rappeler que les derniers mots du président sortant aient été ceux-là.
Et c'est un acte symbolique - ou voulu - que ces dernières paroles s'opposent résolument à ce qu'Obama avait annoncé comme devant être une des premières décisions de son mandat. Le Freedom of Choice Act.